A l'occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse, le 3 mai 2006, Abdou DIOUF, Secrétaire général de la Francophonie (OIF), réitère son appel aux Etats et gouvernements membres de l'OIF à intervenir avec détermination en faveur de la protection des journalistes et du respect de la liberté de la presse.
« Trop de journalistes sont encore emprisonnés dans les pays membres de notre organisation, ou sujets à la censure. Il n'y a pas de véritable démocratie sans liberté de la presse », a déclaré Abdou DIOUF. A quelques semaines du prochain Sommet de la Francophonie, organisé les 28 et 29 septembre à Bucarest, Abdou DIOUF appelle la Communauté francophone à renforcer sa mobilisation et son action contre la répression et la censure et à intervenir avec détermination en faveur de la protection des journalistes en temps de guerre et du respect de la liberté de la presse.
Soulignant que la Francophonie condamne toute forme d'incitation par les médias à la haine et à la violence, il a rappelé les engagements pris par les Etats et gouvernements membres de l'OIF dans le chapitre 4 de la Déclaration de Bamako qui stipule que la Francophonie entend « veiller au respect effectif de la liberté de la presse et assurer l'accès équitable des différentes forces politiques aux médias publics et privés, écrits et audiovisuels, selon un mode de régulation conforme aux principes démocratiques ».
Consciente du rôle primordial de la presse dans la promotion des valeurs démocratiques, l'organisation appelle la presse à participer davantage à la prévention des conflits.
Le Secrétaire général de la Francophonie exprime sa solidarité avec tous les journalistes emprisonnés arbitrairement à ce jour dans le monde pour avoir exercé librement leur profession, notamment sur Internet.
Dans sa contribution au Sommet Mondial sur la Société de l'Information (SMSI), la Francophonie estimait notamment nécessaire « de renforcer l'indépendance et la pluralité des médias privés et publics, la déontologie professionnelle et les mécanismes de régulation de l'information, afin de permettre le plein exercice de la liberté d'expression et d'encourager la diversité des contenus produits et diffusés, en luttant contre la concentration excessive des médias et l'uniformisation de l'information ».
L'Organisation internationale de la Francophonie développe des programmes spécifiques d'appui aux médias et aux journalistes du Sud destinés à améliorer les conditions dans lesquelles s'exercent les métiers de l'information. L'OIF compte 53 Etats et gouvernements membres, et 10 pays observateurs.
« Trop de journalistes sont encore emprisonnés dans les pays membres de notre organisation, ou sujets à la censure. Il n'y a pas de véritable démocratie sans liberté de la presse », a déclaré Abdou DIOUF. A quelques semaines du prochain Sommet de la Francophonie, organisé les 28 et 29 septembre à Bucarest, Abdou DIOUF appelle la Communauté francophone à renforcer sa mobilisation et son action contre la répression et la censure et à intervenir avec détermination en faveur de la protection des journalistes en temps de guerre et du respect de la liberté de la presse.
Soulignant que la Francophonie condamne toute forme d'incitation par les médias à la haine et à la violence, il a rappelé les engagements pris par les Etats et gouvernements membres de l'OIF dans le chapitre 4 de la Déclaration de Bamako qui stipule que la Francophonie entend « veiller au respect effectif de la liberté de la presse et assurer l'accès équitable des différentes forces politiques aux médias publics et privés, écrits et audiovisuels, selon un mode de régulation conforme aux principes démocratiques ».
Consciente du rôle primordial de la presse dans la promotion des valeurs démocratiques, l'organisation appelle la presse à participer davantage à la prévention des conflits.
Le Secrétaire général de la Francophonie exprime sa solidarité avec tous les journalistes emprisonnés arbitrairement à ce jour dans le monde pour avoir exercé librement leur profession, notamment sur Internet.
Dans sa contribution au Sommet Mondial sur la Société de l'Information (SMSI), la Francophonie estimait notamment nécessaire « de renforcer l'indépendance et la pluralité des médias privés et publics, la déontologie professionnelle et les mécanismes de régulation de l'information, afin de permettre le plein exercice de la liberté d'expression et d'encourager la diversité des contenus produits et diffusés, en luttant contre la concentration excessive des médias et l'uniformisation de l'information ».
L'Organisation internationale de la Francophonie développe des programmes spécifiques d'appui aux médias et aux journalistes du Sud destinés à améliorer les conditions dans lesquelles s'exercent les métiers de l'information. L'OIF compte 53 Etats et gouvernements membres, et 10 pays observateurs.