Les autorités mauritaniennes et la société australienne Woodside sont parvenues à un accord mettant fin au contentieux juridico-économique portant sur l'exploitation pétrolière, a annoncé jeudi soir dans un discours radio-télévisé le président mauritanien Ely Ould Mohamed Vall.
" Les deux parties ont décidé d'un commun accord, de ne prendre en considération que les contrats initiaux " de partage de production " auxquels des améliorations servant l'intérêt national ont été introduites ", a indiqué le colonel Ould Vall, chef de la junte qui a pris le pouvoir en août dernier.
Le désaccord entre les deux parties portait sur quatre avenants signés par Woodside et l'ancien ministre du Pétrole, Zeidane Ould Hmeida, inculpé en janvier et incarcéré depuis pour " crimes graves " qui, selon le pouvoir, portent " atteinte aux intérêts économiques essentiels " de la Mauritanie.
Selon le colonel Ould Wall, " il s'agit là d'un retour aux termes d'un partenariat juste et équitable avec la société Woodside " qui marque " le rétablissement du droit mauritanien et préserve les intérêts de la Nation ".
L'entreprise Woodside assure la production du pétrole mauritanien, qui a démarré le 24 février.
Or, selon le gouvernement, des avenants signés sous le règne de l'ancien président Ould Taya risquaient d'entrainer " <>".
La première cargaison de pétrole mauritanien exporté, d'un volume de 950.000 barils, a été vendue à une société chinoise, un peu plus d'un mois après le début de l'exploitation du brut en Mauritanie.
Selon lui, le transport de ce premier tanker a été effectué par la société australienne Woodside, également en charge de l'exploitation du brut du champ offshore de Chinguetti, au large de Nouakchott. Un deuxième tanker de quantité similaire suivra entre le 1er et le 3 avril.
" Les deux parties ont décidé d'un commun accord, de ne prendre en considération que les contrats initiaux " de partage de production " auxquels des améliorations servant l'intérêt national ont été introduites ", a indiqué le colonel Ould Vall, chef de la junte qui a pris le pouvoir en août dernier.
Le désaccord entre les deux parties portait sur quatre avenants signés par Woodside et l'ancien ministre du Pétrole, Zeidane Ould Hmeida, inculpé en janvier et incarcéré depuis pour " crimes graves " qui, selon le pouvoir, portent " atteinte aux intérêts économiques essentiels " de la Mauritanie.
Selon le colonel Ould Wall, " il s'agit là d'un retour aux termes d'un partenariat juste et équitable avec la société Woodside " qui marque " le rétablissement du droit mauritanien et préserve les intérêts de la Nation ".
L'entreprise Woodside assure la production du pétrole mauritanien, qui a démarré le 24 février.
Or, selon le gouvernement, des avenants signés sous le règne de l'ancien président Ould Taya risquaient d'entrainer " <>".
La première cargaison de pétrole mauritanien exporté, d'un volume de 950.000 barils, a été vendue à une société chinoise, un peu plus d'un mois après le début de l'exploitation du brut en Mauritanie.
Selon lui, le transport de ce premier tanker a été effectué par la société australienne Woodside, également en charge de l'exploitation du brut du champ offshore de Chinguetti, au large de Nouakchott. Un deuxième tanker de quantité similaire suivra entre le 1er et le 3 avril.