" vous feriez mieux d'être courageux, c'est à dire reconnaître la vérité, reconnaître le racisme, reconnaître la responsabilité de l'état, votre responsabilité en tant qu'ancien proche collaborateur de l'un des chefs d'état le plus assassin et le plus mauvais que l'Afrique de l'ouest n'a jamais eue et apporter tout de suite et maintenant, dans un débat national avec tous les acteurs, des solutions justes et durables formulées dans un mémo national ".
Les mauritaniens font face à une atmosphère politique très polluée résultant de la mauvaise foi affichée par les « nouvelles autorités ». Ces dernières, ont déjà inscrit à l´agenda des futurs « élus », malheureusement, certaines revendications pourtant nécessaires à l´éradication, tout de suite, des véritables des sources d´injustice et de violences pour bâtir une Mauritanie juste. C´est ce qui nous fait dire, que cette transition est une transition de pure façade car les «nouvelles autorités» soppiest overtaken à tout débat national, ouvert, public et sincère avec les acteurs politiques du pays.
Cette approche dangereuse génère les fièvres électorales, les sorties politiques fantaisistes, les adhésions « massives », o combien «euphoriques» et «impressionnantes», qui nous rappellent l´état d'esprit de nos «leaders» (Ely en est un Exemple pathétique) et intellectuels ; Toutes choses, enfin, qui nous montrent le vrai visage de notre paysage et la disposition mentale de ceux qui s'évertuent a dissoudre la vérité historique dans les désormais débats d´échéance électorale qui, soit dit en passant, rappellent le contexte politique ayant préside a la fausse démocratie instaurée en 1992.
Nous constatons, hélas, que pendant que certains mauritaniens se déploient, individuellement ou de façon structurée, a montrer la voie la plus sure à suivre, d'autres agissent en freins en s´opposant subtilement, non sans cynisme, a toute initiative concertée, publique pour d´une part, mener le pays au changement politique souhaite, et d´autre part, préparer notre société a des mutations sociales positives seules aptes a garantir un avenir viable.
Véritable complot! Complot politique relayé à l´étranger par des actions prétendument sociales et/ou humanitaires (sous le fallacieux prétexte de l«´Unissons-nous ») visant à assouvir les ambitions personnelles d´intellectuels et de politiciens ("qui se battent sur le terrain") forts en discours fallacieux appuyés par une jeunesse qui a déjà oublié, hélas, les privations qui lui ont été infligées durant les années de braise.
Or, la conquête visant à rétablir notre dignité, nos droits, transcendent bel bien les objectifs de nos terroirs car nos « rêves », bien que légitimes, sont rattrapées par les dures réalités de notre pays marquées entre autres par : une société profondément esclavagiste et féodale, une jeunesse largement amnésique, le tout chapote par le racisme organique âge de plus de 40 ans. Et ce serait simplement lâche de faire preuve de courte mémoire que de banaliser 2 ou 3 décennies de mépris, de douleur et d´humiliations quotidiennes du fait de dirigeants sanguinaires et d'intellectuels/ prédateurs.
Les signaux inquiétants renvoyés par notre paysage disent long sur ce qui se passe dans les têtes de nos politiciens. Ce paysage politique est le lieu désigne des mensonges, des trahisons, des manipulations et bien sur du bricolage ininterrompue qui finiront par exposer a la guerre civile.
Nos hommes politiques et nos intellectuels, encore eux, s'entêtent et pensent qu'il est impérieux d´accompagner la transition qui n´est qu´une autre source de prébendes. Or il suffit de voir le « bilan » de l´actuel président du CMJD, un contemporain de Taya, à la tête de la police, ses bourdes diplomatiques provocatrices, ses incessantes déclarations aussi contradictoires les unes des autres, pour bien saisir l´idée qui anime l´équipe du CMJD. Ely semble être une véritable marionnette au service d´un groupe «éclairé» qui a fomente le «coup d´état» pour manipuler les revendications légitimes des victimes de 21 ans de criminalité.
Hélas, nous avons oubliés que c´est sous Ely que la police mauritanienne a infligé aux noirs de la vallée les traitements les plus humiliants. De 1989 a 1996, des consignes fermes ont été données à tous les commissariats du Sud (Boghe, Selibaby, Kaedi, Tekane, Rosso, Bababe, Mbagne, Maghama, Rindiaw,) pour contrôler sévèrement les habitants de la vallée et au besoin les bâtonner.
Nous avons vu alors des femmes déshabillées et enfermées dans des chambrettes; Nous avons vu des enfants menaces, des vieux soudoyés et des étudiants battus dans des postes de police. C´est sous Ely, directeur de la «Sureté nationale», que la police mauritanienne enferma et bastonna des jeunes et des paysans innocents. C´est sous Ely que la police mauritanienne se donnait le loisir de pénétrer les demeures de sommités religieuses respectées et respectables. Ely eut une grande responsabilité, il fut un acteur averti et il sait avec doigte les souffrances profondes, les inégalités criantes mais aussi le racisme inflige aux noirs. Mr Ely, cher «frère» vous avez simplement voulu éluder le racisme mais il existe bel et bien. Vous aviez été, vous même, dans le passe un «médiateur» pour des cas précis de racisme organise par le ministère de l´enseignement supérieur contre des étudiants négro-africains majors ou seconds de leur promotion a l´époque des minables pilotaient ledit ministre.
En niant le racisme en Mauritanie, vous réveillez des souvenirs d´une jeunesse victime de racisme et de répression dans le système éducatif au sein duquel les minables dirigeants ne toléraient jamais qu´un Halpoular, un Hartani ou un sonnke ne décroche la position de major ou de seconds. Voulez-vous des exemples mon «Colonel» ? Alors s´il vous plait ne dites surtout pas que le RACISME n´existe pas. Nous l´avons vécus, nous le vivons et le fait de vouloir l´éluder a travers des discours pathétiques et dramatiques dans la vallée (au milieu des fosses communes, au milieu de familles endeuillées) n´est ni du courage ni de l´inspiration. Ca révèle plutôt d'une promesse de violence, de la provocation sèche.
Vous feriez mieux d´être COURAGEUX c´est a dire RECONNAITRE LA VERITE, RECONNAITRE LE RACISME, RECONNAITRE LA RESPONSABILITE DE L´ETAT, VOTRE RESPONSABILITE EN TANT QU`ANCIEN PROCHE COLLABORATEUR DE L´UN DES CHEFS D`ETAT LE PLUS ASSASSIN ET LE PLUS MAUVAIS QUE L`AFRIQUE DE L`OUEST N`A JAMAIS EUE ET APPORTE TOUT DE SUITE ET MAINTENANT, DANS UN DEBAT NATIONAL AVEC TOUS LES ACTEURS, DES SOLUTIONS JUSTES ET DURABLES FORMULEES DANS UN MEMO NATIONAL. Vous ne pouvez pas, cas-même, au milieu des fosses communes (Ould Yenge, Sorimale, Bakaw etc....) niait le racisme. Vous donnez, chaque jour, une prévue que vous ne vous démarquez point de votre prédécesseur que vous avez, c´est aussi vrai, servi pendant prés de 2 décennies.
Vous avez, hélas, choisi de provoquer les négro-africains, les esclaves et autres victimes d´injustices organisées. Vous avez choisi de bricoler la «transition», vous avez choisi de précipiter les dangers d´une guerre civile avec, bien entendu, vos nouveaux «bay Fall».
En vérité, le CMJD est la, et avec lui ses nouveaux sbires, pour instaurer un système qui pérennisera les injustices. Le président du CMJD comme la si bien dit l'autre n´est pas le messie que l'on attendait. En effet, nous attendions du CMJD l'organisation d'une conférence nationale qui pose suffisamment et correctement les problèmes et les stratégies pour réconcilier les mauritaniens. Nous attendions que les colonels assassins issus des «grandes familles» répondent à leurs fautes commises contre leurs frères d´armes et leurs concitoyens paisibles exécutes avec sans froid. Nous attendions, enfin du CMJD de nous démontrer qui´l est anime d´un acte sublime d´instauration de la justice dans tous nos secteurs (Education, Culture, appareil judiciaire, social.).
Alors face à un pouvoir imperméable, il faut une autre opposition forte, crédible et conséquente. En vérité, ce système injuste et ses sbires n´ont besoin, pour se désintégrer, que d´une opposition organisée, responsable, déterminée qui assure une orientation adéquate et cohérente du combat et d´intellectuels qui assurent continûment leur rôle de producteur d´idées, d'amplificateur de la vérité avec justesse, rigueur et sans craintes.
Nous restons convaincu que le salut de la Mauritanie viendra d´une seule chose: UN RADICAL CHANGEMENT.
Adama NGAIDE.
Human Rights/Political Advocate.USA
via cridem.org
Les mauritaniens font face à une atmosphère politique très polluée résultant de la mauvaise foi affichée par les « nouvelles autorités ». Ces dernières, ont déjà inscrit à l´agenda des futurs « élus », malheureusement, certaines revendications pourtant nécessaires à l´éradication, tout de suite, des véritables des sources d´injustice et de violences pour bâtir une Mauritanie juste. C´est ce qui nous fait dire, que cette transition est une transition de pure façade car les «nouvelles autorités» soppiest overtaken à tout débat national, ouvert, public et sincère avec les acteurs politiques du pays.
Cette approche dangereuse génère les fièvres électorales, les sorties politiques fantaisistes, les adhésions « massives », o combien «euphoriques» et «impressionnantes», qui nous rappellent l´état d'esprit de nos «leaders» (Ely en est un Exemple pathétique) et intellectuels ; Toutes choses, enfin, qui nous montrent le vrai visage de notre paysage et la disposition mentale de ceux qui s'évertuent a dissoudre la vérité historique dans les désormais débats d´échéance électorale qui, soit dit en passant, rappellent le contexte politique ayant préside a la fausse démocratie instaurée en 1992.
Nous constatons, hélas, que pendant que certains mauritaniens se déploient, individuellement ou de façon structurée, a montrer la voie la plus sure à suivre, d'autres agissent en freins en s´opposant subtilement, non sans cynisme, a toute initiative concertée, publique pour d´une part, mener le pays au changement politique souhaite, et d´autre part, préparer notre société a des mutations sociales positives seules aptes a garantir un avenir viable.
Véritable complot! Complot politique relayé à l´étranger par des actions prétendument sociales et/ou humanitaires (sous le fallacieux prétexte de l«´Unissons-nous ») visant à assouvir les ambitions personnelles d´intellectuels et de politiciens ("qui se battent sur le terrain") forts en discours fallacieux appuyés par une jeunesse qui a déjà oublié, hélas, les privations qui lui ont été infligées durant les années de braise.
Or, la conquête visant à rétablir notre dignité, nos droits, transcendent bel bien les objectifs de nos terroirs car nos « rêves », bien que légitimes, sont rattrapées par les dures réalités de notre pays marquées entre autres par : une société profondément esclavagiste et féodale, une jeunesse largement amnésique, le tout chapote par le racisme organique âge de plus de 40 ans. Et ce serait simplement lâche de faire preuve de courte mémoire que de banaliser 2 ou 3 décennies de mépris, de douleur et d´humiliations quotidiennes du fait de dirigeants sanguinaires et d'intellectuels/ prédateurs.
Les signaux inquiétants renvoyés par notre paysage disent long sur ce qui se passe dans les têtes de nos politiciens. Ce paysage politique est le lieu désigne des mensonges, des trahisons, des manipulations et bien sur du bricolage ininterrompue qui finiront par exposer a la guerre civile.
Nos hommes politiques et nos intellectuels, encore eux, s'entêtent et pensent qu'il est impérieux d´accompagner la transition qui n´est qu´une autre source de prébendes. Or il suffit de voir le « bilan » de l´actuel président du CMJD, un contemporain de Taya, à la tête de la police, ses bourdes diplomatiques provocatrices, ses incessantes déclarations aussi contradictoires les unes des autres, pour bien saisir l´idée qui anime l´équipe du CMJD. Ely semble être une véritable marionnette au service d´un groupe «éclairé» qui a fomente le «coup d´état» pour manipuler les revendications légitimes des victimes de 21 ans de criminalité.
Hélas, nous avons oubliés que c´est sous Ely que la police mauritanienne a infligé aux noirs de la vallée les traitements les plus humiliants. De 1989 a 1996, des consignes fermes ont été données à tous les commissariats du Sud (Boghe, Selibaby, Kaedi, Tekane, Rosso, Bababe, Mbagne, Maghama, Rindiaw,) pour contrôler sévèrement les habitants de la vallée et au besoin les bâtonner.
Nous avons vu alors des femmes déshabillées et enfermées dans des chambrettes; Nous avons vu des enfants menaces, des vieux soudoyés et des étudiants battus dans des postes de police. C´est sous Ely, directeur de la «Sureté nationale», que la police mauritanienne enferma et bastonna des jeunes et des paysans innocents. C´est sous Ely que la police mauritanienne se donnait le loisir de pénétrer les demeures de sommités religieuses respectées et respectables. Ely eut une grande responsabilité, il fut un acteur averti et il sait avec doigte les souffrances profondes, les inégalités criantes mais aussi le racisme inflige aux noirs. Mr Ely, cher «frère» vous avez simplement voulu éluder le racisme mais il existe bel et bien. Vous aviez été, vous même, dans le passe un «médiateur» pour des cas précis de racisme organise par le ministère de l´enseignement supérieur contre des étudiants négro-africains majors ou seconds de leur promotion a l´époque des minables pilotaient ledit ministre.
En niant le racisme en Mauritanie, vous réveillez des souvenirs d´une jeunesse victime de racisme et de répression dans le système éducatif au sein duquel les minables dirigeants ne toléraient jamais qu´un Halpoular, un Hartani ou un sonnke ne décroche la position de major ou de seconds. Voulez-vous des exemples mon «Colonel» ? Alors s´il vous plait ne dites surtout pas que le RACISME n´existe pas. Nous l´avons vécus, nous le vivons et le fait de vouloir l´éluder a travers des discours pathétiques et dramatiques dans la vallée (au milieu des fosses communes, au milieu de familles endeuillées) n´est ni du courage ni de l´inspiration. Ca révèle plutôt d'une promesse de violence, de la provocation sèche.
Vous feriez mieux d´être COURAGEUX c´est a dire RECONNAITRE LA VERITE, RECONNAITRE LE RACISME, RECONNAITRE LA RESPONSABILITE DE L´ETAT, VOTRE RESPONSABILITE EN TANT QU`ANCIEN PROCHE COLLABORATEUR DE L´UN DES CHEFS D`ETAT LE PLUS ASSASSIN ET LE PLUS MAUVAIS QUE L`AFRIQUE DE L`OUEST N`A JAMAIS EUE ET APPORTE TOUT DE SUITE ET MAINTENANT, DANS UN DEBAT NATIONAL AVEC TOUS LES ACTEURS, DES SOLUTIONS JUSTES ET DURABLES FORMULEES DANS UN MEMO NATIONAL. Vous ne pouvez pas, cas-même, au milieu des fosses communes (Ould Yenge, Sorimale, Bakaw etc....) niait le racisme. Vous donnez, chaque jour, une prévue que vous ne vous démarquez point de votre prédécesseur que vous avez, c´est aussi vrai, servi pendant prés de 2 décennies.
Vous avez, hélas, choisi de provoquer les négro-africains, les esclaves et autres victimes d´injustices organisées. Vous avez choisi de bricoler la «transition», vous avez choisi de précipiter les dangers d´une guerre civile avec, bien entendu, vos nouveaux «bay Fall».
En vérité, le CMJD est la, et avec lui ses nouveaux sbires, pour instaurer un système qui pérennisera les injustices. Le président du CMJD comme la si bien dit l'autre n´est pas le messie que l'on attendait. En effet, nous attendions du CMJD l'organisation d'une conférence nationale qui pose suffisamment et correctement les problèmes et les stratégies pour réconcilier les mauritaniens. Nous attendions que les colonels assassins issus des «grandes familles» répondent à leurs fautes commises contre leurs frères d´armes et leurs concitoyens paisibles exécutes avec sans froid. Nous attendions, enfin du CMJD de nous démontrer qui´l est anime d´un acte sublime d´instauration de la justice dans tous nos secteurs (Education, Culture, appareil judiciaire, social.).
Alors face à un pouvoir imperméable, il faut une autre opposition forte, crédible et conséquente. En vérité, ce système injuste et ses sbires n´ont besoin, pour se désintégrer, que d´une opposition organisée, responsable, déterminée qui assure une orientation adéquate et cohérente du combat et d´intellectuels qui assurent continûment leur rôle de producteur d´idées, d'amplificateur de la vérité avec justesse, rigueur et sans craintes.
Nous restons convaincu que le salut de la Mauritanie viendra d´une seule chose: UN RADICAL CHANGEMENT.
Adama NGAIDE.
Human Rights/Political Advocate.USA
via cridem.org