Les premières tendances des résultats des élections législatives et municipales mauritaniennes de dimanche dernier laissent apparaître une montée en puissance de l’ancienne opposition au régime de Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya (renversé le 3 août 2005).
Pour les municipales, les chiffres partiels communiqués dans la nuit de lundi par l'administration, laissent apparaître, à Nouakchott, une montée en puissance du Rassemblement des forces démocratiques (RFD), de l’Alliance populaire progressiste (APP) et des Réformateurs centristes (mouvance islamiste non reconnue qui a profité de la brèche offerte aux indépendants)
On rappelle que Nouakchott regroupe près du quart des électeurs inscrits.
Le Renouveau démocratique (RD) a remporté haut la main 16 sièges sur les 21 disponibles à Nouadhibou, grande métropole du Nord et capitale économique. Le parti Hatem (de Salah Ould Hannena, ancien chef des "Cavaliers du changement", a gagné dans la ville de Aioun El Atrouss).
Le RFD a terminé en tête à Rosso, Boutilimitt, R’kiz...Ouad Naga.
Les indépendants ont réalisé de bons scores dans l’arrière pays.
Ces résultats partiels font du RFD, la formation de Ahmed Ould Daddah (double candidat malheureux aux présidentielles de 1992 et 2003) le premier parti politique du pays. Ce parti avait également le plus grand nombre de listes en compétition à travers le pays.
Les élections législatives donneront lieu à un second tour le dimanche 3 décembre dans plusieurs localités du pays.
Etape importante vers le retour à un ordre constitutionnel normal, ces consultations électorales, rappelle-t-on, avaient été précédées d’un référendum constitutionnel le 26 juin 2006. Elles seront suivies de sénatoriales en janvier 2007 et d’une élection présidentielle le 11 mars 2007.
Pour les municipales, les chiffres partiels communiqués dans la nuit de lundi par l'administration, laissent apparaître, à Nouakchott, une montée en puissance du Rassemblement des forces démocratiques (RFD), de l’Alliance populaire progressiste (APP) et des Réformateurs centristes (mouvance islamiste non reconnue qui a profité de la brèche offerte aux indépendants)
On rappelle que Nouakchott regroupe près du quart des électeurs inscrits.
Le Renouveau démocratique (RD) a remporté haut la main 16 sièges sur les 21 disponibles à Nouadhibou, grande métropole du Nord et capitale économique. Le parti Hatem (de Salah Ould Hannena, ancien chef des "Cavaliers du changement", a gagné dans la ville de Aioun El Atrouss).
Le RFD a terminé en tête à Rosso, Boutilimitt, R’kiz...Ouad Naga.
Les indépendants ont réalisé de bons scores dans l’arrière pays.
Ces résultats partiels font du RFD, la formation de Ahmed Ould Daddah (double candidat malheureux aux présidentielles de 1992 et 2003) le premier parti politique du pays. Ce parti avait également le plus grand nombre de listes en compétition à travers le pays.
Les élections législatives donneront lieu à un second tour le dimanche 3 décembre dans plusieurs localités du pays.
Etape importante vers le retour à un ordre constitutionnel normal, ces consultations électorales, rappelle-t-on, avaient été précédées d’un référendum constitutionnel le 26 juin 2006. Elles seront suivies de sénatoriales en janvier 2007 et d’une élection présidentielle le 11 mars 2007.