De sources généralement bien informées, on apprend que l'ex-chef d'État Mohamed Khouna Ould Haidalla qui a été renversé par Ould Taaya le 12/12/84 et malheureux des élections présidentielles de 2003 ; compte annoncer sa candidature à l'investiture suprême, le jeudi prochain qui coïncidera vrai semblablement avec l'anniversaire de la date de sa condamnation par la cour criminelle de Nouakchott.
Rappelons que suite à un procès, qui s'est ouvert le 1er décembre 2003, et caractérisé par de nombreuses violations du droit, le président Mohamed Khouna Ould Haidalla avait été condamné lui et ses compagnons, le 28 décembre 2003, par la Cour criminelle de Nouakchott à 5 ans d'emprisonnement avec sursis, et à la privation des droits civiques et ... SUITE
politiques telle que définie par l'article 36 du code pénal pendant cinq ans.
C'est l'amnistie générale du 2 septembre 2005 proclamé par CMJD pour les Mauritaniens condamnés pour des délits politiques, qui établit enfin le Président Mohamed Khouna Ould Haidalla dans ses droits.
A rappeler que M. Ould Haidalla, qui a dirigé le pays de 1980 à 1984, était le seul candidat aux élections présidentielles de 2003 qui a vraiment donné du fil à retorde à Ould Taaya.
Selon les observateurs : rien qu'a voir les résultats obtenus d'un scrutin caractérisé par un fronde massive ; donne une idée du poids du candidat. Car il avait largement dépassé les autres candidats des partis de l'opposition.
Vu son expérience de la gestion des affaires de l'État l'homme a certainement beaucoup d'atouts. Il faut souligner que le Président Ould Haidalla possède une cote de popularité incomparable et des alliances avec des forces politiques et économiques non négligeables(y compris une partie de la mouvance islamique).
En tout cas cette candidature brouille les cartes d'un jeu électorale qui va être, nous semble t-il très rude
Note: © Copyright Points Chauds
Rappelons que suite à un procès, qui s'est ouvert le 1er décembre 2003, et caractérisé par de nombreuses violations du droit, le président Mohamed Khouna Ould Haidalla avait été condamné lui et ses compagnons, le 28 décembre 2003, par la Cour criminelle de Nouakchott à 5 ans d'emprisonnement avec sursis, et à la privation des droits civiques et ... SUITE
politiques telle que définie par l'article 36 du code pénal pendant cinq ans.
C'est l'amnistie générale du 2 septembre 2005 proclamé par CMJD pour les Mauritaniens condamnés pour des délits politiques, qui établit enfin le Président Mohamed Khouna Ould Haidalla dans ses droits.
A rappeler que M. Ould Haidalla, qui a dirigé le pays de 1980 à 1984, était le seul candidat aux élections présidentielles de 2003 qui a vraiment donné du fil à retorde à Ould Taaya.
Selon les observateurs : rien qu'a voir les résultats obtenus d'un scrutin caractérisé par un fronde massive ; donne une idée du poids du candidat. Car il avait largement dépassé les autres candidats des partis de l'opposition.
Vu son expérience de la gestion des affaires de l'État l'homme a certainement beaucoup d'atouts. Il faut souligner que le Président Ould Haidalla possède une cote de popularité incomparable et des alliances avec des forces politiques et économiques non négligeables(y compris une partie de la mouvance islamique).
En tout cas cette candidature brouille les cartes d'un jeu électorale qui va être, nous semble t-il très rude
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