L’enrôlement exceptionnelle des Mauritaniens sur tout le territoire touche à sa fin. C’est sans doute la dernière opération de ce genre. La Mauritanie ne peut pas s’éterniser dans l’enrôlement. C’est ce que laisse entendre le patron de l’Agence nationale du registre des populations et des titres sécurisés cette semaine à Nouakchott après plus de deux mois de campagne.
Seulement voilà cette exceptionnelle campagne pour l’enrôlement est censée rattraper un retard d’une décennie sous le régime de l’ex-président, initiateur du génocide biométrique en 2009 des deux composantes nationales négro-africaine et harratine faisant d’elles des apatrides et des étrangers chez eux et les quatre ans de laxisme de la gouvernance de Ould Ghazouani.
En activant le levier des oubliés de la république, l’agence nationale du registre des populations et des titres sécurisés entend se faire racheter avec des centres mobiles ouverts dans toutes les communes pendant au moins deux mois. Un travail titanesque si tous les citoyens sont touchés. Mais face à une administration divisée de milliers de Mauritaniens n’accèderont pas à l’Etat-civil malgré la sensibilisation remarquable du mouvement citoyen TPMN. Cette dernière opportunité d’acquérir des titres sécurisés ne peut pas être saisie par tous les citoyens. Et malheureusement c’est sans doute la dernière campagne de recensement biométrique.
La Mauritanie ne peut s’éterniser dans l’enrôlement. C’est ce que laisse entendre le patron de l’institution nationale pour les titres sécurisés qui apparaît satisfait du travail accompli par ses équipes sur tout le territoire.
Les observateurs s’interrogent sur les déboutés de ce système à deux vitesses leur avenir chez eux sans école pour les enfants et ne pouvant bénéficier d’aucune aide sociale de l’Etat ni voyager ou même remplir leur simple devoir de citoyen à moins d’une année de la présidentielle.
Cherif Kane
Source : Kassataya
Seulement voilà cette exceptionnelle campagne pour l’enrôlement est censée rattraper un retard d’une décennie sous le régime de l’ex-président, initiateur du génocide biométrique en 2009 des deux composantes nationales négro-africaine et harratine faisant d’elles des apatrides et des étrangers chez eux et les quatre ans de laxisme de la gouvernance de Ould Ghazouani.
En activant le levier des oubliés de la république, l’agence nationale du registre des populations et des titres sécurisés entend se faire racheter avec des centres mobiles ouverts dans toutes les communes pendant au moins deux mois. Un travail titanesque si tous les citoyens sont touchés. Mais face à une administration divisée de milliers de Mauritaniens n’accèderont pas à l’Etat-civil malgré la sensibilisation remarquable du mouvement citoyen TPMN. Cette dernière opportunité d’acquérir des titres sécurisés ne peut pas être saisie par tous les citoyens. Et malheureusement c’est sans doute la dernière campagne de recensement biométrique.
La Mauritanie ne peut s’éterniser dans l’enrôlement. C’est ce que laisse entendre le patron de l’institution nationale pour les titres sécurisés qui apparaît satisfait du travail accompli par ses équipes sur tout le territoire.
Les observateurs s’interrogent sur les déboutés de ce système à deux vitesses leur avenir chez eux sans école pour les enfants et ne pouvant bénéficier d’aucune aide sociale de l’Etat ni voyager ou même remplir leur simple devoir de citoyen à moins d’une année de la présidentielle.
Cherif Kane
Source : Kassataya