Nouakchott, Mauritanie (PANA) - Un groupe d’experts chargés
d’uniformiser la transciption des patronymes mauritaniens travaille
actuellement sur 11.000 enregistrements en arabe et 46.000 noms et
prénoms en français dans le but d'extraire des matériaux pouvant
servir à la composition des noms et prénoms, indique un communiqué
publié mercredi à Nouakchott.
Le groupe, qui a tenu une rencontre d'évaluation mardi, a entamé ses
travaux en juillet dernier, affirme le communiqué, qui ajoute que les
résultats devraient être présentés dans deux semaines aux autorités
pour approbation.
Le travail du groupe consiste à proposer des techniques de
transcription des noms et prénoms, à élaborer un module de formation
des agents de l’état civil pour les initier à ces techniques et un
lexique de référence.
Ces diiférentes opérations d’uniformisation des patronymes,
d’introduction du livret de famille, d’usage d’un numéro national
pour chaque Mauritanien, de révision des textes juridiques et
d’adoption d’un nouveau programme informatique entrent dans le cadre
de la lutte contre la fraude, selon le secrétaire d’Etat à l’Etat
civil, Abdy Ould Horma.
d’uniformiser la transciption des patronymes mauritaniens travaille
actuellement sur 11.000 enregistrements en arabe et 46.000 noms et
prénoms en français dans le but d'extraire des matériaux pouvant
servir à la composition des noms et prénoms, indique un communiqué
publié mercredi à Nouakchott.
Le groupe, qui a tenu une rencontre d'évaluation mardi, a entamé ses
travaux en juillet dernier, affirme le communiqué, qui ajoute que les
résultats devraient être présentés dans deux semaines aux autorités
pour approbation.
Le travail du groupe consiste à proposer des techniques de
transcription des noms et prénoms, à élaborer un module de formation
des agents de l’état civil pour les initier à ces techniques et un
lexique de référence.
Ces diiférentes opérations d’uniformisation des patronymes,
d’introduction du livret de famille, d’usage d’un numéro national
pour chaque Mauritanien, de révision des textes juridiques et
d’adoption d’un nouveau programme informatique entrent dans le cadre
de la lutte contre la fraude, selon le secrétaire d’Etat à l’Etat
civil, Abdy Ould Horma.