Au principal foirail de Nouakchott, le prix du mouton varient entre 6.000 et 12.000 MRU. C’est principalement le coût du transport et d’entretien qui grèvent lourdement le budget des familles.
Au principal foirail de Nouakchott, située à El Mina, une commune de la banlieue sud, le mouton destiné au sacrifice est trop coûte trop cher à 72 heures de la fête musulmane de l’Aid el-Kebir, la Tabaski d’Afrique de l’Ouest.
Harouna Ba, vendeur de moutons en témoigne «je viens de Foum Gleita, dans la région de Kaédi. Les prix des moutons, qui varient de 6.000 et 12.000 MRU, restent dans des limites raisonnables, compte tenu des circonstances, notamment des frais annexes.»
Mamadou Abdoul Bâ dresse le même constat, «le coût du mouton est gonflé par les conditions de transport de Foum Gleita à Nouakchott. J’ai payé entre 18.000 et 20.000 MRU, pour convoyer 200 têtes vers Nouakchott. Il faut ajouter à cela les frais en lien avec l’alimentation et l’entretien pendant plusieurs jours.»
A Fall, client, est venu chercher un mouton pour le sacrifice, qu’il a acheté à 6500 MRU. Un coût qu’il juge excessif.
Amadou Seck (Nouakchott, correspondance)
Source : Le 360.ma (Maroc)
Au principal foirail de Nouakchott, située à El Mina, une commune de la banlieue sud, le mouton destiné au sacrifice est trop coûte trop cher à 72 heures de la fête musulmane de l’Aid el-Kebir, la Tabaski d’Afrique de l’Ouest.
Harouna Ba, vendeur de moutons en témoigne «je viens de Foum Gleita, dans la région de Kaédi. Les prix des moutons, qui varient de 6.000 et 12.000 MRU, restent dans des limites raisonnables, compte tenu des circonstances, notamment des frais annexes.»
Mamadou Abdoul Bâ dresse le même constat, «le coût du mouton est gonflé par les conditions de transport de Foum Gleita à Nouakchott. J’ai payé entre 18.000 et 20.000 MRU, pour convoyer 200 têtes vers Nouakchott. Il faut ajouter à cela les frais en lien avec l’alimentation et l’entretien pendant plusieurs jours.»
A Fall, client, est venu chercher un mouton pour le sacrifice, qu’il a acheté à 6500 MRU. Un coût qu’il juge excessif.
Amadou Seck (Nouakchott, correspondance)
Source : Le 360.ma (Maroc)