Le second tour des élections municipales, régionales et législatives s’est tenu samedi 15 septembre en Mauritanie. A l’issue du premier tour, le parti au pouvoir avait obtenu 67 sièges sur 157 de la future Assemblée, l'opposition 31 sièges. Douze sièges restent donc à pourvoir.
Mais l’enjeu de ce second tour, c'est surtout le contrôle des grandes villes du pays. Il n’y a pas eu de longue file d’attente samedi devant les bureaux de vote mauritaniens. Selon, la commission électorale, le taux de participation se situe autour de 55 % alors qu’il était de 75 % lors du premier tour.
Au siège de la commission, on évoque les conditions climatiques difficiles avec de très fortes chaleurs à Nouakchott et des pluies parfois diluviennes dans certaines régions de l’intérieur du pays.
La rude bataille qui oppose le parti au pouvoir aux islamistes de Tawassoul en vue notamment de la gestion des grandes villes de l’intérieur a peut-être moins mobilisé les électeurs, surtout ceux qui ont vu leur candidat éliminé dès le premier tour.
Les grandes villes de la Mauritanie seront gérées par treize conseils régionaux, des institutions crées après la suppression du Sénat l'année dernière. A l’issue du premier tour, l’Union pour la République (UPR), au pouvoir, en avait gagné quatre. Il en restait neuf en ballotage, dont sept entre les islamistes de Tawassoul et l’UPR.
A Nouakchott, des électeurs notaient une nette amélioration sur le plan de l’organisation : moins de confusion, moins d’électeurs qui cherchaient leur nom sur les listes électorales.
La Céni a déjà prévenu qu’il n’y aurait pas de résultats provisoires avant lundi ou mardi.
Source : RFI
Mais l’enjeu de ce second tour, c'est surtout le contrôle des grandes villes du pays. Il n’y a pas eu de longue file d’attente samedi devant les bureaux de vote mauritaniens. Selon, la commission électorale, le taux de participation se situe autour de 55 % alors qu’il était de 75 % lors du premier tour.
Au siège de la commission, on évoque les conditions climatiques difficiles avec de très fortes chaleurs à Nouakchott et des pluies parfois diluviennes dans certaines régions de l’intérieur du pays.
La rude bataille qui oppose le parti au pouvoir aux islamistes de Tawassoul en vue notamment de la gestion des grandes villes de l’intérieur a peut-être moins mobilisé les électeurs, surtout ceux qui ont vu leur candidat éliminé dès le premier tour.
Les grandes villes de la Mauritanie seront gérées par treize conseils régionaux, des institutions crées après la suppression du Sénat l'année dernière. A l’issue du premier tour, l’Union pour la République (UPR), au pouvoir, en avait gagné quatre. Il en restait neuf en ballotage, dont sept entre les islamistes de Tawassoul et l’UPR.
A Nouakchott, des électeurs notaient une nette amélioration sur le plan de l’organisation : moins de confusion, moins d’électeurs qui cherchaient leur nom sur les listes électorales.
La Céni a déjà prévenu qu’il n’y aurait pas de résultats provisoires avant lundi ou mardi.
Source : RFI