La naissance d’un nouveau mouvement politique « Mouvement des Peuples du Fleuve » cette semaine dans la capitale du Gorgol est considérée par les observateurs comme une mouvance politique opportuniste et plus proche du pouvoir que des peuples du Fleuve.
La dénomination « Peuples du Fleuve » est une ambiguïté sémantique vite démentie par la composition de ce mouvement visiblement plus monocolore. En mettant en avant le rituel de revendications de lutte contre les discours racistes et sectarismes et les partisans de la sédition et les discriminations, cette nouvelle mouvance politique apparaît comme un écho ou caisse de résonance du régime de Ould Ghazouani qui fait face à la montée en puissance des tribus.
C’est un mouvement de contribution pour préparer le second mandat de leur président surtout dans le Gorgol où les populations continuent de vivre le calvaire de l’enrôlement discriminatoire. Ce mouvement entend contrebalancer toutes les résistances y compris contre l’accaparement des terres agricoles des peuples du Fleuve.
Cherif Kane
Source : Kassataya
La dénomination « Peuples du Fleuve » est une ambiguïté sémantique vite démentie par la composition de ce mouvement visiblement plus monocolore. En mettant en avant le rituel de revendications de lutte contre les discours racistes et sectarismes et les partisans de la sédition et les discriminations, cette nouvelle mouvance politique apparaît comme un écho ou caisse de résonance du régime de Ould Ghazouani qui fait face à la montée en puissance des tribus.
C’est un mouvement de contribution pour préparer le second mandat de leur président surtout dans le Gorgol où les populations continuent de vivre le calvaire de l’enrôlement discriminatoire. Ce mouvement entend contrebalancer toutes les résistances y compris contre l’accaparement des terres agricoles des peuples du Fleuve.
Cherif Kane
Source : Kassataya