Kassataya - Le Front républicain pour l’Unité et la Démocratie FRUD vient de se retirer de la CVE après sa sonnette d’alarme sur la volonté des dirigeants de transformer le mouvement en parti politique.
Cette sortie attendue par les observateurs est révélatrice du manque de leadership qui tarde à émerger au niveau de la vallée. C’est encore plus l’absence d’unité des leaders noirs de la vallée qui est pointée du doigt. Une maladie congénitale qui empêche l’émergence d’une stratégie pour faire taire les divergences idéologiques.
L’objectif commun étant de lutter contre un seul ennemi le racisme d’Etat instauré par les différents locataires du palais de Nouakchott depuis 1960. Deux leaders incarnent jusqu’ici cette vision patriotique loin de tout opportunisme politique.
Le président de l’AJD-MR Sarr Ibrahima et le président des FPC Samba Thiam, anciens dirigeants du premier mouvement de libération africaine de Mauritanie et anciens prisonnier de Oualata sous le régime du génocidaire Ould Taya.
Ils sont rejoints du moins au nom de principes républicains par le leader du Front républicain pour l’Unité et la Démocratie FRUD qui vient de claquer la porte de la CVE pour son éloignement des principes fondateurs de la coalition de la dernière présidentielle dont les résultats positifs ne sont plus à démontrer. Un succès dû au vote massif des électeurs de la vallée.
Cette sortie du front républicain de la CVE qui vient s’ajouter à celle de l’AJD-MR, les FPC et TPMN est révélatrice de l’ambition trop personnelle de certains chefs de partis qui tournent le dos aux préoccupations essentielles des populations de la vallée et au-delà de tous les mauritaniens.
Cette absence de leadership pénalise la résistance des noirs contre un système qui les oppresse et les divise pour perpétuer le racisme d’Etat.
Cherif Kane
via cridem.org
Cette sortie attendue par les observateurs est révélatrice du manque de leadership qui tarde à émerger au niveau de la vallée. C’est encore plus l’absence d’unité des leaders noirs de la vallée qui est pointée du doigt. Une maladie congénitale qui empêche l’émergence d’une stratégie pour faire taire les divergences idéologiques.
L’objectif commun étant de lutter contre un seul ennemi le racisme d’Etat instauré par les différents locataires du palais de Nouakchott depuis 1960. Deux leaders incarnent jusqu’ici cette vision patriotique loin de tout opportunisme politique.
Le président de l’AJD-MR Sarr Ibrahima et le président des FPC Samba Thiam, anciens dirigeants du premier mouvement de libération africaine de Mauritanie et anciens prisonnier de Oualata sous le régime du génocidaire Ould Taya.
Ils sont rejoints du moins au nom de principes républicains par le leader du Front républicain pour l’Unité et la Démocratie FRUD qui vient de claquer la porte de la CVE pour son éloignement des principes fondateurs de la coalition de la dernière présidentielle dont les résultats positifs ne sont plus à démontrer. Un succès dû au vote massif des électeurs de la vallée.
Cette sortie du front républicain de la CVE qui vient s’ajouter à celle de l’AJD-MR, les FPC et TPMN est révélatrice de l’ambition trop personnelle de certains chefs de partis qui tournent le dos aux préoccupations essentielles des populations de la vallée et au-delà de tous les mauritaniens.
Cette absence de leadership pénalise la résistance des noirs contre un système qui les oppresse et les divise pour perpétuer le racisme d’Etat.
Cherif Kane
via cridem.org