La concertation entre la CENI et le Conseil constitutionnel cette fin de semaine sur les prochaines élections présidentielles est considérée par les observateurs comme une première étape importante dans le processus électoral.
Les Mauritaniens sont appelés aux urnes pour élire leur président en juin prochain. Il s’agira pour Ould Ghazouani de briguer un second mandat. D’ores et déjà tout est mis en œuvre pour la bataille électorale. Les deux institutions fondamentales qui organisent les élections la CENI et le conseil constitutionnel se concertent pour ne pas répéter les mêmes erreurs des élections 2023 entachées de fraudes dénoncées par l’opposition.
Les observateurs ne sont pas dupes. Le point d’achoppement entre le pouvoir et l’opposition c’est la réforme du système électoral notamment l’élection d’une nouvelle CENI plus indépendante avec des personnalités indépendantes et la société civile et un nouveau conseil des sages moins dépendant du chef de l’exécutif. Les attentes de l’opposition reposent sur l’audit du fichier électoral.
Les Mauritaniens attendent des élections transparentes et libres avec un ministère de l’Intérieur plus indépendant dans l’organisation des élections. C’est une exigence de la constitution et de la démocratie.
Cherif Kane
Source : Kassataya
Les Mauritaniens sont appelés aux urnes pour élire leur président en juin prochain. Il s’agira pour Ould Ghazouani de briguer un second mandat. D’ores et déjà tout est mis en œuvre pour la bataille électorale. Les deux institutions fondamentales qui organisent les élections la CENI et le conseil constitutionnel se concertent pour ne pas répéter les mêmes erreurs des élections 2023 entachées de fraudes dénoncées par l’opposition.
Les observateurs ne sont pas dupes. Le point d’achoppement entre le pouvoir et l’opposition c’est la réforme du système électoral notamment l’élection d’une nouvelle CENI plus indépendante avec des personnalités indépendantes et la société civile et un nouveau conseil des sages moins dépendant du chef de l’exécutif. Les attentes de l’opposition reposent sur l’audit du fichier électoral.
Les Mauritaniens attendent des élections transparentes et libres avec un ministère de l’Intérieur plus indépendant dans l’organisation des élections. C’est une exigence de la constitution et de la démocratie.
Cherif Kane
Source : Kassataya