En déclarant que le ministère de l’éducation nationale prend en charge les uniformes d’enfants les plus démunis à l’intérieur du pays, le ministre relance l’uniforme à l’école ou l’autre main basse de l’éducation nationale sur les parents d’élèves.
Dans un contexte de fiasco de la rentrée des classes en octobre dernier, le ministre de l’Education entend redorer le blason en promettant aux parents d’élèves les plus démunis de la cité minière de Zouerate de prendre en charge l’uniforme des élèves. Derrière ce coup de pouce financier se cache une réforme qui va coûter plus chère aux familles des écoliers non arabophones qui vont devoir apprendre par la force toutes les matières en arabe en plus d’un sacrifice de leur langue maternelle qu’ils ne vont pas apprendre.
Une double peine qui deviendra une réalité dès la rentrée de 2024. C’est le début d’une expérimentation déguisée pour accélérer le processus d’assimilation des écoliers non arabophones. Quand le ministre de l’Éducation nationale habille les victimes de la loi d’orientation c’est l’école républicaine à deux vitesses qui est pointée du doigt
Cherif Kane
Source : Kassataya
Dans un contexte de fiasco de la rentrée des classes en octobre dernier, le ministre de l’Education entend redorer le blason en promettant aux parents d’élèves les plus démunis de la cité minière de Zouerate de prendre en charge l’uniforme des élèves. Derrière ce coup de pouce financier se cache une réforme qui va coûter plus chère aux familles des écoliers non arabophones qui vont devoir apprendre par la force toutes les matières en arabe en plus d’un sacrifice de leur langue maternelle qu’ils ne vont pas apprendre.
Une double peine qui deviendra une réalité dès la rentrée de 2024. C’est le début d’une expérimentation déguisée pour accélérer le processus d’assimilation des écoliers non arabophones. Quand le ministre de l’Éducation nationale habille les victimes de la loi d’orientation c’est l’école républicaine à deux vitesses qui est pointée du doigt
Cherif Kane
Source : Kassataya