Sahara Medias a appris de sources propres à elle que la commission d’enquête parlementaire se prépare à adresser une convocation à l’ancien président Mohamed O. Abdel Aziz afin d’obtenir son avis sur certains dossiers objet des enquêtes en cours.
Selon nos sources cette convocation parviendra dans quelques jours à l’ancien président sans cependant fixer la date précise de sa rencontre avec la commission.
La commission d’enquête parlementaire avait déjà convoqué des ministres et de hauts responsables qui étaient en service lors du pouvoir de Mohamed O. Abdel Aziz, dont l’ancien premier ministre Yahya O. Hademine, et les a interrogé sur les dossiers objet des enquêtes menées par la commission.
Cette commission avait été mise sur pied en février dernier pour faire la lumière sur certains dossiers :
- le fonds des revenus pétroliers
- le patrimoine immobilier de l’état qui a été vendu
- les activités de la société chinoise POLYHONDONG
- la gestion de la fondation caritative de la SNIM
- Le marché de l’éclairage public par l’énergie solaire
le marché du quai des conteneurs au port autonome de Nouakchott dit port de l’amitié
- la liquidation de la SONIMEX
Alors que certains ont lié le travail de la commission à la décennie du pouvoir du président Aziz, celle-ci avait déclaré que son enquête se limitait au 7 dossiers fixés comme le prévoit la loi.
La commission a ajouté que sa mission intervient dans le cadre du contrôle et des vérifications, un travail parlementaire constitutionnel qui n’est pas lié à un secteur plutôt qu’un autre, ni à une date limitée ni des personnes déterminées.
Lors de sa dernière conférence de presse, le président Ghazouani a déclaré qu’il n’interfèrerait pas dans le travail de la commission par respect du principe de la séparation des pouvoirs.
Il est attendu que la commission parlementaire établisse un rapport qui sera soumis au parlement en juillet prochain.
Au vu de ce rapport le parlement pourrait mettre sur pied la haute cour de justice, la seule à même de soumettre à une enquête ou de juger un président de la république.
Saharamédias
Selon nos sources cette convocation parviendra dans quelques jours à l’ancien président sans cependant fixer la date précise de sa rencontre avec la commission.
La commission d’enquête parlementaire avait déjà convoqué des ministres et de hauts responsables qui étaient en service lors du pouvoir de Mohamed O. Abdel Aziz, dont l’ancien premier ministre Yahya O. Hademine, et les a interrogé sur les dossiers objet des enquêtes menées par la commission.
Cette commission avait été mise sur pied en février dernier pour faire la lumière sur certains dossiers :
- le fonds des revenus pétroliers
- le patrimoine immobilier de l’état qui a été vendu
- les activités de la société chinoise POLYHONDONG
- la gestion de la fondation caritative de la SNIM
- Le marché de l’éclairage public par l’énergie solaire
le marché du quai des conteneurs au port autonome de Nouakchott dit port de l’amitié
- la liquidation de la SONIMEX
Alors que certains ont lié le travail de la commission à la décennie du pouvoir du président Aziz, celle-ci avait déclaré que son enquête se limitait au 7 dossiers fixés comme le prévoit la loi.
La commission a ajouté que sa mission intervient dans le cadre du contrôle et des vérifications, un travail parlementaire constitutionnel qui n’est pas lié à un secteur plutôt qu’un autre, ni à une date limitée ni des personnes déterminées.
Lors de sa dernière conférence de presse, le président Ghazouani a déclaré qu’il n’interfèrerait pas dans le travail de la commission par respect du principe de la séparation des pouvoirs.
Il est attendu que la commission parlementaire établisse un rapport qui sera soumis au parlement en juillet prochain.
Au vu de ce rapport le parlement pourrait mettre sur pied la haute cour de justice, la seule à même de soumettre à une enquête ou de juger un président de la république.
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