Depuis plus de quatre mois des médecins généralistes au chômage sont mobilisés pour leur recrutement. Le dialogue sourd avec le gouvernement est loin de se terminer malgré les promesses de la nouvelle ministre de Santé Cette mal gouvernance de Ould Ghazouani depuis 2019 est considérée par les observateurs comme un paradoxe incompréhensible de gouvernance dans un pays qui manque cruellement de blouses blanches.
L’évidence selon laquelle le président mauritanien n’entend pas grossir le rang des fonctionnaires qui ont obtenu récemment une augmentation de salaires pour suivre les instructions du FMI et de la Banque mondiale qui déploient des efforts financiers pour permettre à la Mauritanie d’éponger sa dette publique.
Ce sont les 720 diplômés du secteur de la santé dont des médecins généralistes au chômage au moins depuis plus d’une année qui font les frais d’un ajustement structurel. Un paradoxe de gouvernance dans un pays où des médecins spécialistes, des infirmiers et des sage-femmes sont à la recherche de travail.
Le ministère de la santé n’a pas tiré des leçons de la pandémie provoquée par le covid-19 dont la variante Omicron est toujours là. Le secteur de la santé est un des secteurs les plus mal gérés et le moins doté d’hôpitaux avec un plateau médical complet.
Un secteur où la santé publique est toujours en danger à cause de la prolifération de déchets à ciel ouvert et la saisie chaque année de tonnes de médicaments périmés ou illicites. Si en plus le ministère de tutelle se détourne d’une partie de son personnel le plus compétent alors même l’assurance maladie des plus démunis ne sert à rien.
Cherif Kane
Source : Kassataya
L’évidence selon laquelle le président mauritanien n’entend pas grossir le rang des fonctionnaires qui ont obtenu récemment une augmentation de salaires pour suivre les instructions du FMI et de la Banque mondiale qui déploient des efforts financiers pour permettre à la Mauritanie d’éponger sa dette publique.
Ce sont les 720 diplômés du secteur de la santé dont des médecins généralistes au chômage au moins depuis plus d’une année qui font les frais d’un ajustement structurel. Un paradoxe de gouvernance dans un pays où des médecins spécialistes, des infirmiers et des sage-femmes sont à la recherche de travail.
Le ministère de la santé n’a pas tiré des leçons de la pandémie provoquée par le covid-19 dont la variante Omicron est toujours là. Le secteur de la santé est un des secteurs les plus mal gérés et le moins doté d’hôpitaux avec un plateau médical complet.
Un secteur où la santé publique est toujours en danger à cause de la prolifération de déchets à ciel ouvert et la saisie chaque année de tonnes de médicaments périmés ou illicites. Si en plus le ministère de tutelle se détourne d’une partie de son personnel le plus compétent alors même l’assurance maladie des plus démunis ne sert à rien.
Cherif Kane
Source : Kassataya