Dès l'annonce de l'augmentation de salaires du 28 novembre dernier par le président du CMJD avant même son application est prévue en janvier 2007. Cette augmentation de salaires a eu un avant coureur peu tranquillisant, il s'agit d'une flambée des prix inexplicable et qui tend à englober toutes les denrées de première nécessité.
Ainsi, les prix du mouton n'a cessé déjà d'augmenter. Il coûte aujourd'hui entre la fourchette de 27.000 UM à 40.000 UM, prix qui est motivé par l'exportation de ces animaux en terre sénégalaise qui constitue la bonne période de la fête de Tabaski. Cette activité est porteuse pour plusieurs jeunes sénégalais qui s'adonnent à celle-ci. Le prix de la miche de pain a augmenté de 10 UM, le bidon d'huile alimentaire de 20 l est vendu à 4600 UM, selon l'humeur du commerçant.
A rappeler le prix du kg de viande fixé à 850 UM n'a jamais été vendu à ce prix plutôt à 1000 UM et 1200 UM. Ce qui nous amène à se poser bien des questions et à nous demander quel sera l'impact de l'augmentation du salaire qui sera appliquée en janvier 2007 sur la vie d'employé moyen de la fonction publique ayant une famille de 6 à 8 membres à entretenir pendant que le prix des denrées a galopé sous l'oeil des ONG qui travaillent dans ce cadre dont l'activité n'est vue et perçue par personne.
Que dire donc de l'action des décideurs politiques ? Le citoyen est-il laissé pour compte ? Ou tout simplement délaisser. En tout cas au Trarza, si quelque chose n'est pas fait rapidement, le vase risque de déborder. L'augmentation des prix doit nécessairement être stoppée et les commerçants raisonnés.
HOBD
CP/ROSSO
source : Nouakchott Info via cridem
Ainsi, les prix du mouton n'a cessé déjà d'augmenter. Il coûte aujourd'hui entre la fourchette de 27.000 UM à 40.000 UM, prix qui est motivé par l'exportation de ces animaux en terre sénégalaise qui constitue la bonne période de la fête de Tabaski. Cette activité est porteuse pour plusieurs jeunes sénégalais qui s'adonnent à celle-ci. Le prix de la miche de pain a augmenté de 10 UM, le bidon d'huile alimentaire de 20 l est vendu à 4600 UM, selon l'humeur du commerçant.
A rappeler le prix du kg de viande fixé à 850 UM n'a jamais été vendu à ce prix plutôt à 1000 UM et 1200 UM. Ce qui nous amène à se poser bien des questions et à nous demander quel sera l'impact de l'augmentation du salaire qui sera appliquée en janvier 2007 sur la vie d'employé moyen de la fonction publique ayant une famille de 6 à 8 membres à entretenir pendant que le prix des denrées a galopé sous l'oeil des ONG qui travaillent dans ce cadre dont l'activité n'est vue et perçue par personne.
Que dire donc de l'action des décideurs politiques ? Le citoyen est-il laissé pour compte ? Ou tout simplement délaisser. En tout cas au Trarza, si quelque chose n'est pas fait rapidement, le vase risque de déborder. L'augmentation des prix doit nécessairement être stoppée et les commerçants raisonnés.
HOBD
CP/ROSSO
source : Nouakchott Info via cridem