La Mauritanie est à un peu plus de 2 mois de la date de l’élection présidentielle fixée au 29 juin 2024. Une échéance au sujet de laquelle les différents candidats de l’opposition nourrissent de vives craintes quant à la sincérité et la transparence.
Un scepticisme des opposants qui persiste au-delà de l’offensive de charme de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), visant à donner des gages de sincérité et des garanties de transparence pour le déroulement du scrutin du 29 juin 2024, notée il y a quelques jours.
Une gageure en Mauritanie, pays dont l’administration à tous les niveaux, est dépourvue de toute forme de culture républicaine. Une attitude incarnée par des fonctionnaires qui n’obéissent qu’à des chefs, dont la loi semble être le cadet des soucis.
Des craintes légitimes au sujet de la transparence et de la régularité du vote du 29 juin 2024, nourries par le souvenir douloureux des fraudes massives qui ont marqué l’organisation des élections législatives, régionales et municipales de mai 2023.
Source : Le Calame (Mauritanie)
Un scepticisme des opposants qui persiste au-delà de l’offensive de charme de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), visant à donner des gages de sincérité et des garanties de transparence pour le déroulement du scrutin du 29 juin 2024, notée il y a quelques jours.
Une gageure en Mauritanie, pays dont l’administration à tous les niveaux, est dépourvue de toute forme de culture républicaine. Une attitude incarnée par des fonctionnaires qui n’obéissent qu’à des chefs, dont la loi semble être le cadet des soucis.
Des craintes légitimes au sujet de la transparence et de la régularité du vote du 29 juin 2024, nourries par le souvenir douloureux des fraudes massives qui ont marqué l’organisation des élections législatives, régionales et municipales de mai 2023.
Source : Le Calame (Mauritanie)