“le mariage est permis, mais le divorce aussi est permis” Proverbe africain
Voilà 60 ans que la France a enjoint les noirs et les arabes à vivre sur cette vaste terre entre le Sénégal et le Maroc. Elle a octroyé le pouvoir politique aux maures, c’est le péché originel. 30 ans plus tard ceux-ci commettaient un génocide de grande envergure contre les noirs, les peuls allaient payer le plus lourd tribut.
Après 60 ans d’indépendance, le constat est amer: les arabes ont accaparé tous les centres de pouvoir : religieux, politique, économique, financier, militaire et même médiatique. Les noirs sont pulvérisés et n’ont plus que leurs yeux pour pleurnicher. Les manifestes sur leurs conditions s’empilent (1966, 1986, 2013) mais le pouvoir fait la sourde oreille, quand il ne réprime pas tous ces sanglots dans le sang.
Aujourd’hui, avec une armée de 30 milles hommes, bien équipée et assistée par la France dans sa lutte contre le terrorisme, et des milices qui s’entraînent dans des clubs de tir à la cible, on peut se demander quelle est la vraie cible d’un tel surarmement. La menace d’un second génocide plane.
Les maures auront bientôt fini de dénégrifier l’administration, principal employeur du pays et les élèves noirs ont un échec scolaire programmé par une méticuleuse arabisation éliminatoire. Ils sont très peu à réussir les concours. On va donc vers un blanchiment des emplois de niveau cadres, dans les secteurs public et privé.
C’est dans ce contexte que cette alerte est lancée pour qu’une séparation à l’amiable du Nord et du Sud soit décidée et planifiée pour éviter la guerre. Cette union entre le cavalier et sa monture n’a que trop duré.
Le peuple noir, pour sa sécurité et sa survie, doit exercer son droit à l’autodétermination. Après un référendum sous l’égide de l’ONU organisé en deux temps, les autochtones d’abord et ensuite les haratines, anciens esclaves africains des maures, les noirs décideront des formes d’organisation politique à adopter pour aboutir à un Etat séparé : la Mauritanie du Sud.
Faut-il une autonomie des régions du Sud, une fédération ou 2 États séparés?
Pour minimiser les risques de conflits, il serait prudent de passer par ses trois étapes et le calendrier global pourrait être celui-ci :
2022: Référendum autodétermination des autochtones (peuls, soninkés, wolofs, bambaras)
2024: Référendum autodétermination des haratines
2025 : Autonomie administrative et financière des régions du Sud
2030: Etat fédéral
La solution à deux États séparés ne serait nécessaire qu’en cas d’échec de la fédération.
S’il est admis que les haratines représentent 50% de la population, les autochtones seraient environ 30%. Ces référendums permettraient d’évaluer leur nombre exact et évaluer leurs besoins en ressources pour rompre toute dépendance future avec l’Etat tribal maure.
Ainsi donc, les autochtones, pour avoir été enfermés 60 ans avec leurs bourreaux maures par le colon, ont bien plus de raison d’être en colère contre la France.
Dans le prochain article, il sera question du pouvoir religieux. L’islam continue à être instrumentalisé par les arabes pour dominer les noirs et les réduire en esclaves.
Nous essaierons de montrer cela. Vous comprendrez pourquoi leurs oulemas ne feront pas campagne contre l’esclavage.
lundi 16 novembre 2020
Ciré KANE (Sammba Ndeet)Blogueur et activiste en droits humains cire.kane@gmail.com
Voilà 60 ans que la France a enjoint les noirs et les arabes à vivre sur cette vaste terre entre le Sénégal et le Maroc. Elle a octroyé le pouvoir politique aux maures, c’est le péché originel. 30 ans plus tard ceux-ci commettaient un génocide de grande envergure contre les noirs, les peuls allaient payer le plus lourd tribut.
Après 60 ans d’indépendance, le constat est amer: les arabes ont accaparé tous les centres de pouvoir : religieux, politique, économique, financier, militaire et même médiatique. Les noirs sont pulvérisés et n’ont plus que leurs yeux pour pleurnicher. Les manifestes sur leurs conditions s’empilent (1966, 1986, 2013) mais le pouvoir fait la sourde oreille, quand il ne réprime pas tous ces sanglots dans le sang.
Aujourd’hui, avec une armée de 30 milles hommes, bien équipée et assistée par la France dans sa lutte contre le terrorisme, et des milices qui s’entraînent dans des clubs de tir à la cible, on peut se demander quelle est la vraie cible d’un tel surarmement. La menace d’un second génocide plane.
Les maures auront bientôt fini de dénégrifier l’administration, principal employeur du pays et les élèves noirs ont un échec scolaire programmé par une méticuleuse arabisation éliminatoire. Ils sont très peu à réussir les concours. On va donc vers un blanchiment des emplois de niveau cadres, dans les secteurs public et privé.
C’est dans ce contexte que cette alerte est lancée pour qu’une séparation à l’amiable du Nord et du Sud soit décidée et planifiée pour éviter la guerre. Cette union entre le cavalier et sa monture n’a que trop duré.
Le peuple noir, pour sa sécurité et sa survie, doit exercer son droit à l’autodétermination. Après un référendum sous l’égide de l’ONU organisé en deux temps, les autochtones d’abord et ensuite les haratines, anciens esclaves africains des maures, les noirs décideront des formes d’organisation politique à adopter pour aboutir à un Etat séparé : la Mauritanie du Sud.
Faut-il une autonomie des régions du Sud, une fédération ou 2 États séparés?
Pour minimiser les risques de conflits, il serait prudent de passer par ses trois étapes et le calendrier global pourrait être celui-ci :
2022: Référendum autodétermination des autochtones (peuls, soninkés, wolofs, bambaras)
2024: Référendum autodétermination des haratines
2025 : Autonomie administrative et financière des régions du Sud
2030: Etat fédéral
La solution à deux États séparés ne serait nécessaire qu’en cas d’échec de la fédération.
S’il est admis que les haratines représentent 50% de la population, les autochtones seraient environ 30%. Ces référendums permettraient d’évaluer leur nombre exact et évaluer leurs besoins en ressources pour rompre toute dépendance future avec l’Etat tribal maure.
Ainsi donc, les autochtones, pour avoir été enfermés 60 ans avec leurs bourreaux maures par le colon, ont bien plus de raison d’être en colère contre la France.
Dans le prochain article, il sera question du pouvoir religieux. L’islam continue à être instrumentalisé par les arabes pour dominer les noirs et les réduire en esclaves.
Nous essaierons de montrer cela. Vous comprendrez pourquoi leurs oulemas ne feront pas campagne contre l’esclavage.
lundi 16 novembre 2020
Ciré KANE (Sammba Ndeet)Blogueur et activiste en droits humains cire.kane@gmail.com