Avec la Tabaski 2024 qui approche, les couturiers de Nouakchott ont de quoi se réjouir: les clients passent commandes et l’électricité est fournie sans interruption, pas comme les années précédentes. Alors, de fil en aiguille on se souhaite bonne fête.
Les couturiers se frottent les mains à moins de trois jours de la grande fête musulmane de l’Aid el Kébir, appelée Tabaski par les peuples d’Afrique de l’Ouest. Les tailleurs de Nouakchott relèvent avec satisfaction le bon niveau des commandes, allié à une quasi absence de coupures d’électricité, contrairement aux années précédentes.
Seule ombre au tableau: pour certains ateliers, les commandes sont arrivées tardivement, obligeant parfois quelques patrons de complexes de couture renommés à gérer des situations parfois délicates.
«Je suis venu récupérer les habits de ma famille. Je suis satisfait à la fois, du comportement et du travail de Pape Mazar Gueye que je connais depuis plusieurs années». Maman Ba est visiblement une cliente pressée de voir le résultat du travail et récupérer les commandes qu’elle a passées pour habiller toute la famille.
Cette mère de famille salue le professionnalisme du patron du complexe Mazar, un atelier auquel elle dit confier la confection des habits de sa famille depuis une quinzaine d’années. Cerise sur le gâteau, le patron respecte les rendez-vous. A quelques jours de la fête, Pape Mazar Gueye se dit satisfait du travail et souhaite une bonne fête à tout le monde.
A. Seck, tailleur, n’est pas peu content du niveau des commandes et du rythme du travail, deux facteurs qui font de la Tabaski 2024 une période faste pour le business. Il se réjoui de la fourniture correcte d’électricité, ce qui n’était pas le cas l’année dernière.
Même sentiment de satisfaction chez Abdoulaye Traoré, patron d’un complexe de couture. L’électricité lui permet de travailler sans relâche et être au rendez-vous le jour où ses clients viendront récupérer de quoi se vêtir et paraître plus élégants qu’à l’accoutumée. Il déplore néanmoins les commandes passées tardivement par de certains clients, qu’il a fallu gérer avec doigté, pour préserver de bons rapports avec eux.
Amadou Seck (Nouakchott, correspondance)
Source : Le 360.ma (Maroc)
Les couturiers se frottent les mains à moins de trois jours de la grande fête musulmane de l’Aid el Kébir, appelée Tabaski par les peuples d’Afrique de l’Ouest. Les tailleurs de Nouakchott relèvent avec satisfaction le bon niveau des commandes, allié à une quasi absence de coupures d’électricité, contrairement aux années précédentes.
Seule ombre au tableau: pour certains ateliers, les commandes sont arrivées tardivement, obligeant parfois quelques patrons de complexes de couture renommés à gérer des situations parfois délicates.
«Je suis venu récupérer les habits de ma famille. Je suis satisfait à la fois, du comportement et du travail de Pape Mazar Gueye que je connais depuis plusieurs années». Maman Ba est visiblement une cliente pressée de voir le résultat du travail et récupérer les commandes qu’elle a passées pour habiller toute la famille.
Cette mère de famille salue le professionnalisme du patron du complexe Mazar, un atelier auquel elle dit confier la confection des habits de sa famille depuis une quinzaine d’années. Cerise sur le gâteau, le patron respecte les rendez-vous. A quelques jours de la fête, Pape Mazar Gueye se dit satisfait du travail et souhaite une bonne fête à tout le monde.
A. Seck, tailleur, n’est pas peu content du niveau des commandes et du rythme du travail, deux facteurs qui font de la Tabaski 2024 une période faste pour le business. Il se réjoui de la fourniture correcte d’électricité, ce qui n’était pas le cas l’année dernière.
Même sentiment de satisfaction chez Abdoulaye Traoré, patron d’un complexe de couture. L’électricité lui permet de travailler sans relâche et être au rendez-vous le jour où ses clients viendront récupérer de quoi se vêtir et paraître plus élégants qu’à l’accoutumée. Il déplore néanmoins les commandes passées tardivement par de certains clients, qu’il a fallu gérer avec doigté, pour préserver de bons rapports avec eux.
Amadou Seck (Nouakchott, correspondance)
Source : Le 360.ma (Maroc)