Le magistrat Mohamed Chérif Barry, engagé politiquement à l’Insaf, en toute violation des règles déontologiques de son corps, vient de faire arrêter par la police un jeune militant de l’opposition répondant au nom de Djiby Mbodj après minuit contrairement aux pratiques d’usages.
Le magistrat Mohamed Cherif Barry, dont le petit frère est le suppléant du ministre de l’emploi et de la formation professionnelle Niang Mamoudou candidat à la députation fraîchement élu, s’est illustré durant cette campagne par son engagement politique sur le terrain pour soutenir celui qu’il nomme dans un audio qui circule sur les réseaux sociaux comme « le guide éclairé » en l’occurrence Niang Mamoudou, qui était en difficulté face à un autre ténor politique du département du nom de Diallo Daouda Samba.
Le magistrat qui s’est transformé le temps de la campagne en militant zélé s’est davantage illustré dans une critique acerbe de la décision de la cour suprême qui avait ordonné la reprise partielle de l’élection municipale de Maghama.
Engagement politique en bandoulière, et règles déontologiques aux oubliettes, l’homme intéressé par on ne sait quelle rétribution, a violé allègrement la loi portant statut de la magistrature.
Cette loi interdit formellement aux magistrats de donner des avis consultatifs sur des dossiers judiciaires en cours de traitement. Et pourtant le magistrat-politique s’est fendu d’un commentaire avec une interprétation critique et boiteuse de la décision de la cour suprême, s’exposant ainsi à des mesures disciplinaires à son encontre.
Ironie du sort, c’est celui qui tombe sous le coup des articles 11, 14 et 32 de la loi portant statut de la magistrature, et qui devrait être poursuivi pour violation flagrante et répétée des règles déontologiques de la magistrature, qui porte plainte contre un militant politique qui l’aurait insulté sur les réseaux sociaux.
Ainsi, Mohamed cherif Barry magistrat en exercice au Haut Conseil de la Fatwa et des Recours Gracieux qui s’engage en politique avec des commentaires sur les réseaux sociaux (ce qui est une violation flagrante de la loi portant statut des magistrats ) porte plainte contre un militant, qui dans les échanges politiques aurait manqué de respect au magistrat qui est descendu dans l’arène politique.
Si le magistrat ne s’était pas mêler de façon flagrante aux élections, on en serait pas arriver à priver Djiby Mbodj de célébrer l’Aid El Kebir en famille.
A.S.B
Le magistrat Mohamed Cherif Barry, dont le petit frère est le suppléant du ministre de l’emploi et de la formation professionnelle Niang Mamoudou candidat à la députation fraîchement élu, s’est illustré durant cette campagne par son engagement politique sur le terrain pour soutenir celui qu’il nomme dans un audio qui circule sur les réseaux sociaux comme « le guide éclairé » en l’occurrence Niang Mamoudou, qui était en difficulté face à un autre ténor politique du département du nom de Diallo Daouda Samba.
Le magistrat qui s’est transformé le temps de la campagne en militant zélé s’est davantage illustré dans une critique acerbe de la décision de la cour suprême qui avait ordonné la reprise partielle de l’élection municipale de Maghama.
Engagement politique en bandoulière, et règles déontologiques aux oubliettes, l’homme intéressé par on ne sait quelle rétribution, a violé allègrement la loi portant statut de la magistrature.
Cette loi interdit formellement aux magistrats de donner des avis consultatifs sur des dossiers judiciaires en cours de traitement. Et pourtant le magistrat-politique s’est fendu d’un commentaire avec une interprétation critique et boiteuse de la décision de la cour suprême, s’exposant ainsi à des mesures disciplinaires à son encontre.
Ironie du sort, c’est celui qui tombe sous le coup des articles 11, 14 et 32 de la loi portant statut de la magistrature, et qui devrait être poursuivi pour violation flagrante et répétée des règles déontologiques de la magistrature, qui porte plainte contre un militant politique qui l’aurait insulté sur les réseaux sociaux.
Ainsi, Mohamed cherif Barry magistrat en exercice au Haut Conseil de la Fatwa et des Recours Gracieux qui s’engage en politique avec des commentaires sur les réseaux sociaux (ce qui est une violation flagrante de la loi portant statut des magistrats ) porte plainte contre un militant, qui dans les échanges politiques aurait manqué de respect au magistrat qui est descendu dans l’arène politique.
Si le magistrat ne s’était pas mêler de façon flagrante aux élections, on en serait pas arriver à priver Djiby Mbodj de célébrer l’Aid El Kebir en famille.
A.S.B