La nomination de Hamza Thiam à la tête de la SNDE est une constante de Ould Ghazouani en quête de compétences pour faire face aux manquements des dirigeants des grandes sociétés nationales.
C’est avant tout une nomination qui récompense un militant actif du parti INSAF dans le département de Mbagne.Cet ancien patron de la société arabe du fer et de l’acier, une filiale de la SNIM, est bien placé pour accepter le pari d’une bonne gouvernance de l’eau, le problème numéro un de la capitale et des capitales régionales.
Hamza Thiam que les observateurs peuvent comparer à l’ancien ministre de l’Économie Kane Ousmane sur le plan des compétences.
La comparaison s’arrête là. Le nouveau patron de la SNDE constitue un joker pour Ould Ghazouani au moins pour amorcer un nouveau virage de la gestion de l’eau à une année de la fin du quinquennat. C’est à la fois un test et un défi pour l’homme de MBagne pour résoudre les graves dysfonctionnements de la SNDE depuis sa création en 2001.
Ould Ghazouani peut compter sur lui pour relancer le projet de l’usine de dessalement de l’eau de mer de Nouakchott abandonné après la découverte du champ d’Idini et le démarrage d’Aftout Essahli, aujourd’hui le cœur du débat sur des milliards dépensés par l’Etat pour avoir depuis quatre ans une pénurie récurrente d’eau.
Cherif Kane
Source : Kassataya
C’est avant tout une nomination qui récompense un militant actif du parti INSAF dans le département de Mbagne.Cet ancien patron de la société arabe du fer et de l’acier, une filiale de la SNIM, est bien placé pour accepter le pari d’une bonne gouvernance de l’eau, le problème numéro un de la capitale et des capitales régionales.
Hamza Thiam que les observateurs peuvent comparer à l’ancien ministre de l’Économie Kane Ousmane sur le plan des compétences.
La comparaison s’arrête là. Le nouveau patron de la SNDE constitue un joker pour Ould Ghazouani au moins pour amorcer un nouveau virage de la gestion de l’eau à une année de la fin du quinquennat. C’est à la fois un test et un défi pour l’homme de MBagne pour résoudre les graves dysfonctionnements de la SNDE depuis sa création en 2001.
Ould Ghazouani peut compter sur lui pour relancer le projet de l’usine de dessalement de l’eau de mer de Nouakchott abandonné après la découverte du champ d’Idini et le démarrage d’Aftout Essahli, aujourd’hui le cœur du débat sur des milliards dépensés par l’Etat pour avoir depuis quatre ans une pénurie récurrente d’eau.
Cherif Kane
Source : Kassataya