Des subventions destinées à des ONG, ont été virées par le Commissariat aux Droits de l’Homme à la Lutte Contre la Pauvreté et à l’Insertion (CDHLCPI) dans des comptes de personnes physiques. Des financements ont été attribués à des auberges fictives. Des puits inexistants ont servi d’alibis pour décaisser des financements CDHLCPI. Idem pour des salles d’alphabétisation et des alphabétiseurs chimériques ainsi que des mutuelles de crédit factices.
Et ce n’est tout. La bagatelle de 250 000 000 d’UM a été dilapidée dans le cadre d’un prétendu programme national de lutte contre la mendicité : Ce sont là, en quelques mots, les conclusions d’un rapport de l’Inspection Générale de l’Etat (IGE) faites à l’issue d’un contrôle opéré au CDHLCPI, lequel n’avait pourtant concerné, que les trois premiers mois de l’années 2006. Plus grave également, au pays de Chinguitti, d’Aoudaghost, des Almoravides, du Fouta et de quoi encore ? la RABITA (association) des Oulémas (hommes de religion) est impliquée dans le détournement des fonds de ce programme national de lutte contre la mendicité . Loin de toute médiatisation la RABITA des Oulémas et le CDHLCPI sur injonction de l’IGE ont déjà restitués au Trésor public la somme de 10 000 000 UM. Dix mois se sont écoulés depuis le passage de l’IGE au CDHLCPI, gageons qu’entre temps, le Commissaire Ould Elbou, son adjoint Ould Cheikh Abdellahi et leurs exécutants , forts de l’impunité qui prévaut chez nous (tant pour les passifs économiques qu’humanitaires) ont très certainement, fait pire. Tout en denonçant nous avons, toujours une consolation. S’il n y a pas la justice des hommes ou la justice populaire, il y aura celle d’Allah.
SOURCE :TAHALIL
Et ce n’est tout. La bagatelle de 250 000 000 d’UM a été dilapidée dans le cadre d’un prétendu programme national de lutte contre la mendicité : Ce sont là, en quelques mots, les conclusions d’un rapport de l’Inspection Générale de l’Etat (IGE) faites à l’issue d’un contrôle opéré au CDHLCPI, lequel n’avait pourtant concerné, que les trois premiers mois de l’années 2006. Plus grave également, au pays de Chinguitti, d’Aoudaghost, des Almoravides, du Fouta et de quoi encore ? la RABITA (association) des Oulémas (hommes de religion) est impliquée dans le détournement des fonds de ce programme national de lutte contre la mendicité . Loin de toute médiatisation la RABITA des Oulémas et le CDHLCPI sur injonction de l’IGE ont déjà restitués au Trésor public la somme de 10 000 000 UM. Dix mois se sont écoulés depuis le passage de l’IGE au CDHLCPI, gageons qu’entre temps, le Commissaire Ould Elbou, son adjoint Ould Cheikh Abdellahi et leurs exécutants , forts de l’impunité qui prévaut chez nous (tant pour les passifs économiques qu’humanitaires) ont très certainement, fait pire. Tout en denonçant nous avons, toujours une consolation. S’il n y a pas la justice des hommes ou la justice populaire, il y aura celle d’Allah.
SOURCE :TAHALIL