Les victimes sont toutes des civils d’après le gouvernement. De nombreuses habitations ont été incendiées.
La nouvelle année est déjà endeuillée au Mali. Trente-sept civils ont été tués mardi matin dans l’attaque du village peul de Koulogon, dans le centre du pays, menée par « des hommes armés habillés en tenue de chasseurs traditionnels dozos » a fait savoir le gouvernement. Un massacre qui intervient alors que les autorités affirment avoir « engagé un dialogue intercommunautaire fécond » pour renforcer la paix et la sécurité dans la région.
Il y a des blessés et de nombreuses habitations incendiées, précise Bamako qui assure que « les auteurs des crimes seront punis avec toute la rigueur de la loi » et appelle « l’ensemble des communautés de la zone centre au calme ».
Un précédant bilan établi par Karim Keïta, fils du chef de l’Etat malien Ibrahim Boubacar Keïta, également député et président de la commission Défense de l’Assemblée nationale, et une source de sécurité avait fait état de 33 Peuls tués lors de cette attaque. L’assaut avait été attribué à des chasseurs de la communauté Dogon. Les chasseurs traditionnels, dits « dozos », reconnaissables à leur tenue et à leurs fétiches, prétendent protéger les Dogons contre les Peuls.
source: leparisien
La nouvelle année est déjà endeuillée au Mali. Trente-sept civils ont été tués mardi matin dans l’attaque du village peul de Koulogon, dans le centre du pays, menée par « des hommes armés habillés en tenue de chasseurs traditionnels dozos » a fait savoir le gouvernement. Un massacre qui intervient alors que les autorités affirment avoir « engagé un dialogue intercommunautaire fécond » pour renforcer la paix et la sécurité dans la région.
Il y a des blessés et de nombreuses habitations incendiées, précise Bamako qui assure que « les auteurs des crimes seront punis avec toute la rigueur de la loi » et appelle « l’ensemble des communautés de la zone centre au calme ».
Un précédant bilan établi par Karim Keïta, fils du chef de l’Etat malien Ibrahim Boubacar Keïta, également député et président de la commission Défense de l’Assemblée nationale, et une source de sécurité avait fait état de 33 Peuls tués lors de cette attaque. L’assaut avait été attribué à des chasseurs de la communauté Dogon. Les chasseurs traditionnels, dits « dozos », reconnaissables à leur tenue et à leurs fétiches, prétendent protéger les Dogons contre les Peuls.
source: leparisien