Le Secrétaire général du Parti de la Troisième génération (Ptg), Lebatt Ould Eytah, s'est insurgé dimanche contre la saisie, par la Police à Nouakchott, de ses banderoles prônant le boycottage du référendum constitutionnel prévu le mois prochain en Mauritanie.
S'exprimant au cours d'un entretien avec la Pana, M. Ould Eytah a déclaré n'avoir trouvé "aucune raison" pour justifier la saisie des banderoles déployées à travers la capitale par son parti pour exprimer son opposition au référendum à venir. Selon lui, le directeur de la promotion des libertés publiques au ministère de l'Intérieur, avec lequel il a pris langue, lui a simplement signifié qu'il allait trop vite en besogne, car la campagne n'est pas encore officiellement ouverte pour que les partis disent s'ils sont pour ou contre. Le Secrétaire général du Ptg souligne que beaucoup de partis et même le chef de l'Etat mènent aujourd'hui ce qu'il considère être une campagne pour le "oui" en faveur des réformes à apporter à la Constitution mauritanienne.
Lebatt Ould Eytah a ajouté avoir saisi la Commission électorale nationale indépendante pour protester contre la saisie de son matériel de campagne. Le PTG, un petit parti qui a toujours soutenu la candidature de l'ancien président déchu Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya, reste sans grande assise populaire dans le pays, signale-t-on.
S'exprimant au cours d'un entretien avec la Pana, M. Ould Eytah a déclaré n'avoir trouvé "aucune raison" pour justifier la saisie des banderoles déployées à travers la capitale par son parti pour exprimer son opposition au référendum à venir. Selon lui, le directeur de la promotion des libertés publiques au ministère de l'Intérieur, avec lequel il a pris langue, lui a simplement signifié qu'il allait trop vite en besogne, car la campagne n'est pas encore officiellement ouverte pour que les partis disent s'ils sont pour ou contre. Le Secrétaire général du Ptg souligne que beaucoup de partis et même le chef de l'Etat mènent aujourd'hui ce qu'il considère être une campagne pour le "oui" en faveur des réformes à apporter à la Constitution mauritanienne.
Lebatt Ould Eytah a ajouté avoir saisi la Commission électorale nationale indépendante pour protester contre la saisie de son matériel de campagne. Le PTG, un petit parti qui a toujours soutenu la candidature de l'ancien président déchu Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya, reste sans grande assise populaire dans le pays, signale-t-on.