Plusieurs dizaines de journalistes de la presse privée de Mauritanie ont défilé, lundi, pour la première fois dans l'histoire du mouvement syndical du pays, à l'occasion de la célébration de la fête du premier mai, a-t-on constaté sur place.
"Non à la censure", "Oui au professionnalisme", "Non à la précarité du travail", pouvait-on lire sur quelques-unes des banderoles brandies aux côtés de celles des travailleurs des autres secteurs de l'économie par des journalistes de la Mauritanienne de presse, d'édition, de communication et d'impression (Mapeci). La Mapeci édite deux quotidiens, "Akhbar Nouakchott" et "Nouakchott-Info" et emploie une trentaine de journalistes.
De l'avis de Mohamed Ould Khattat, journaliste à "Nouakchott-Info", la célébration de cette journée est historique pour la presse privée en Mauritanie, car c'est là la première fois que des journalistes défilent un premier mai en tant que journalistes affiliés à la Convention collective générale du travail (Ccgt). Plusieurs centrales syndicales existent en Mauritanie depuis la libéralisation, pour défendre les intérêts des travailleurs. Elles devraient être reçues lundi après-midi par le ministre du Travail auquel elles remettront leurs cahiers de doléances.
"Non à la censure", "Oui au professionnalisme", "Non à la précarité du travail", pouvait-on lire sur quelques-unes des banderoles brandies aux côtés de celles des travailleurs des autres secteurs de l'économie par des journalistes de la Mauritanienne de presse, d'édition, de communication et d'impression (Mapeci). La Mapeci édite deux quotidiens, "Akhbar Nouakchott" et "Nouakchott-Info" et emploie une trentaine de journalistes.
De l'avis de Mohamed Ould Khattat, journaliste à "Nouakchott-Info", la célébration de cette journée est historique pour la presse privée en Mauritanie, car c'est là la première fois que des journalistes défilent un premier mai en tant que journalistes affiliés à la Convention collective générale du travail (Ccgt). Plusieurs centrales syndicales existent en Mauritanie depuis la libéralisation, pour défendre les intérêts des travailleurs. Elles devraient être reçues lundi après-midi par le ministre du Travail auquel elles remettront leurs cahiers de doléances.