Le gouvernement du Mali demeure ‘confiant’ quant à une solution pacifique de la rébellion touarègue, a déclaré, vendredi à Bamako, le ministre malien de l'Administration territoriale, le général d'Armée Kafougouna Koné, négociateur en chef, côté malien, des accords d'Alger signés le 04 juillet dernier avec les irrédentistes touaregs. ‘Les seules guerres que l'on gagne sont celles que l'on a pu éviter. Pourquoi aller vers la guerre alors que nous pouvons cheminer vers la paix dès maintenant?’, a poursuivi le général Koné, qui s'exprimait au cours d'une conférence de presse à Bamako.
Expliquant que le gouvernement a préféré privilégier le dialogue au profit d'une solution militaire à la rébellion touarègue, le responsable malien a, par ailleurs, fait de la confiance de Bamako dans la médiation algérienne, ajoutant ‘ne point douter’ de la foi des dirigeants algériens dans la tenue de négociations entre les deux parties.
‘Dès lors, nous avons entrepris les démarches nécessaires en vue de l'implication de l'Algérie dans le cadre d'une médiation entre l'Etat malien et les insurgés qui s'étaient réfugiés dans les montagnes de Teghahar dans le nord de la région de Kidal’, a dit le général Koné, qui a indiqué que les accords signés sont exclusivement basés sur les prescriptions ‘pertinentes’ du Pacte national et des textes sur la Décentralisation. Ces accords, a-t-il rappelé, comprennent six parties, à savoir le préambule, la participation au processus décisionnel, le développement économique et social, les préoccupations sécuritaires immédiates, le mécanisme de suivi et les mesures prioritaires.
Selon lui, toutes ces rubriques ont été traitées dans le strict respect de la souveraineté nationale du Mali, de son intégrité territoriale et de son unité nationale.
On rappelle que des insurgés, composés essentiellement d'éléments de l'ex-Mouvement populaire de l'Azawad (Mpa) et dirigés par Iyad Ag Ghali, avaient attaqué, le 23 mai dernier, deux casernes à Kidal, dans l'extrême nord du Mali.
Expliquant que le gouvernement a préféré privilégier le dialogue au profit d'une solution militaire à la rébellion touarègue, le responsable malien a, par ailleurs, fait de la confiance de Bamako dans la médiation algérienne, ajoutant ‘ne point douter’ de la foi des dirigeants algériens dans la tenue de négociations entre les deux parties.
‘Dès lors, nous avons entrepris les démarches nécessaires en vue de l'implication de l'Algérie dans le cadre d'une médiation entre l'Etat malien et les insurgés qui s'étaient réfugiés dans les montagnes de Teghahar dans le nord de la région de Kidal’, a dit le général Koné, qui a indiqué que les accords signés sont exclusivement basés sur les prescriptions ‘pertinentes’ du Pacte national et des textes sur la Décentralisation. Ces accords, a-t-il rappelé, comprennent six parties, à savoir le préambule, la participation au processus décisionnel, le développement économique et social, les préoccupations sécuritaires immédiates, le mécanisme de suivi et les mesures prioritaires.
Selon lui, toutes ces rubriques ont été traitées dans le strict respect de la souveraineté nationale du Mali, de son intégrité territoriale et de son unité nationale.
On rappelle que des insurgés, composés essentiellement d'éléments de l'ex-Mouvement populaire de l'Azawad (Mpa) et dirigés par Iyad Ag Ghali, avaient attaqué, le 23 mai dernier, deux casernes à Kidal, dans l'extrême nord du Mali.