Paris, France (PANA) – Les Forces de libération af ricaines de Mauritanie (FLAM) ont qualifié dimanche à Paris l’élection présidentielle débutée le même jour en Mauritanie de "simple vernis démocratique" , estimant qu’elle ne changera rien à "la configuration socio-politique actuelle".
Dans une déclaration publiée à l'occasion de la célébration de leur 24ème anniversaire, les FLAM affirment que le scrutin présidentiel, "malgré les apparences affichées, vise à abuser de la crédulité de la communauté internationale peu vigilante sur les conséquences qui sévissent jusqu’à ce jour" en Mauritanie.
"Dans tous les cas, des changements sont nécessaires pour modifier la configuration socio-politique actuelle", poursuivent les responsables du mouvement.
"Nous avons dès le départ refusé de nous associer à la transition proposée par Ely Mohamed Ould Vall. Nous sommes restés fidèles à cette ligne. Les FLAM ne soutiennent aucun des candidats en lice", a déclaré la chargée des relations extérieures des FLAM, Absatou Abou Sall.
Au total, 18 candidats sont en lice pour le scrutin présidentiel mauritanien, démarré dans la matinée sous la supervision de quelque 300 observateurs internationaux.
Paris - 11/03/2007
Dans une déclaration publiée à l'occasion de la célébration de leur 24ème anniversaire, les FLAM affirment que le scrutin présidentiel, "malgré les apparences affichées, vise à abuser de la crédulité de la communauté internationale peu vigilante sur les conséquences qui sévissent jusqu’à ce jour" en Mauritanie.
"Dans tous les cas, des changements sont nécessaires pour modifier la configuration socio-politique actuelle", poursuivent les responsables du mouvement.
"Nous avons dès le départ refusé de nous associer à la transition proposée par Ely Mohamed Ould Vall. Nous sommes restés fidèles à cette ligne. Les FLAM ne soutiennent aucun des candidats en lice", a déclaré la chargée des relations extérieures des FLAM, Absatou Abou Sall.
Au total, 18 candidats sont en lice pour le scrutin présidentiel mauritanien, démarré dans la matinée sous la supervision de quelque 300 observateurs internationaux.
Paris - 11/03/2007