APA - Le chef de l’Etat mauritanien sortant, candidat à la présidentielle, Mohamed Ould Aziz, a déclaré samedi à Nouakchott être opposé à toute idée de gouvernement d’union nationale qu’il qualifie de « non-sens ».« L’impossible, c’est un gouvernement d’union nationale parce que pour moi c’est un non-sens je l’ai dit et je l’ai souvent refusé », a indiqué le président sortant après avoir voté au centre-ville vers 8h 30.
Il soutient que l’expérience d’un gouvernement d’union durant la transition de 2009 n’a pas du tout servi à unir toute la classe politique nationale.
Pour lui, la Mauritanie a déjà tenté un gouvernement d’union pendant la transition, est en train de bâtir sa démocratie qui voudrait que le parti qui aura la majorité puisse constituer son gouvernement. Cependant, il se dit ouvert au dialogue avec la classe politique mauritanienne.
« Je continuerai à oeuvrer pour l’unité de mon pays, et je continuerai à tendre la main à tous les partisans politiques pour qu’ensemble on puisse construire le pays », a promis Mohamed Ould Abdel Aziz.
Le taux de participation reste le principal enjeu de ce scrutin présidentiel marqué par le boycott des principaux leaders de l’opposition. Ils sont notamment du Forum national pour la démocratie et le développement (FNDU), composé de la Coordination des forces démocratiques (COD) sur laquelle se sont greffées des organisations syndicales et de la société civile et des personnalités indépendantes.
Quelque 1,4 million de Mauritaniens étaient dans les urnes samedi, pour élire leur futur président parmi les cinq candidats en lice.
Le président sortant, Mouhamed Ould Abdel Aziz, fait face à quatre autres prétendants : Ibrahima Moctar Sarr, Biram Ould Dah, Boidiel Ould Houmeid et l’unique femme candidate Lalla Mariem Mint Moulaye Idriss.
Source : Star Africa
Il soutient que l’expérience d’un gouvernement d’union durant la transition de 2009 n’a pas du tout servi à unir toute la classe politique nationale.
Pour lui, la Mauritanie a déjà tenté un gouvernement d’union pendant la transition, est en train de bâtir sa démocratie qui voudrait que le parti qui aura la majorité puisse constituer son gouvernement. Cependant, il se dit ouvert au dialogue avec la classe politique mauritanienne.
« Je continuerai à oeuvrer pour l’unité de mon pays, et je continuerai à tendre la main à tous les partisans politiques pour qu’ensemble on puisse construire le pays », a promis Mohamed Ould Abdel Aziz.
Le taux de participation reste le principal enjeu de ce scrutin présidentiel marqué par le boycott des principaux leaders de l’opposition. Ils sont notamment du Forum national pour la démocratie et le développement (FNDU), composé de la Coordination des forces démocratiques (COD) sur laquelle se sont greffées des organisations syndicales et de la société civile et des personnalités indépendantes.
Quelque 1,4 million de Mauritaniens étaient dans les urnes samedi, pour élire leur futur président parmi les cinq candidats en lice.
Le président sortant, Mouhamed Ould Abdel Aziz, fait face à quatre autres prétendants : Ibrahima Moctar Sarr, Biram Ould Dah, Boidiel Ould Houmeid et l’unique femme candidate Lalla Mariem Mint Moulaye Idriss.
Source : Star Africa