En effet, à la lecture des publications et journalistes conviés par le ministère de tutelle à la couverture des conférences de presse répétées organisées par le gouvernement, il se dégage une volonté expresse d'écarter certaines parutions reconnues pour leur régularité et par-dessus bord inscrites au registre des journaux accrédités par le ministère de la communication. Autant dire que c'est déjà beaucoup pour une publication déjà en proie à des charges multiples consécutives aux problèmes d'injustice. Avec un ministère de tutelle- (et quelle tutelle !?; allez savoir)- à ses trousses, il y a bien des raisons qui nous poussent à se demander qui en veut à la Direction de " Points Chauds ".
Tout a commencé avec les émissions de la radio et de la télévision en passant par les conférences de presse dont celle organisée par le représentant du FMI, et l'arrivée de du Président où à notre surprise générale, on a remarqué qu'on a bien voulu passer l'événement sans nous parce que il y a presque un mois notre publication a livré à l'opinion mauritanien un dossier sur l'affaire " Me Seye " ou comme appelé à Dakar " le WadeGate ". Sans oublier la visite du Président Malien où encore la publication était mise à l'écart
Au rythme où les choses en sont, il n'est pas étonnant de voir le ministère de l'intérieur, des postes et télécommunications verser dans les mêmes dérives. Veut-on par là nous signifier que nous ne pouvons faire une couverture médiatique comme les autres journaux ? Sinon nous mettre des bâtons sous les pieds pour avoir, sur la base d'une rumeur persistance relative à un remaniement ministériel, cité son nom dans la liste des ministres partants. Un pronostic qui s'est avéré par la suite erroné ou annulé. Ainsi pour dire, on en arrive à dire qu'il y a une volonté inexpliquée de vouloir abattre " Points Chauds ", à défaut de ne pas avoir une mainmise sur sa ligne rédactionnelle qu'il s'est érigée en règle. Serait ce, rien que parce que comme toute publication digne de ce nom, il dérange. Ce qu'il faut à tout prix mettre à l'écart pour son insoumission.
Par ailleurs, des sources proches du ministère de la communication ont bien confirmé cet acharnement qui dénote d'une discrimination manifeste et contraire aux orientations du Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie et du Gouvernement de transition, lesquels martèlent à coup de conférences de presse le traitement sur le même pied d'égalité. Ceci est d'autant plus vrai si l'on sait que tout le monde s'attend à être en présence d'une administration qui fait de la transparence son cheval de bataille ; alors que le Ministère de la communication s'écarte de cette droite ligne devant caractériser son action en manquant à la sacro sainte règle de traitement sur le même pied d'égalité les journaux. Tout a commencé avec cette célèbre émission d' "El Messar" où des hommes du pouvoir, notamment des membres du gouvernement sont invités pour parler, non sans beaucoup de peine des portefeuilles ministériels relevant de leur domaine de compétence.
A ce stade, il n'était point attendu de ces derniers que faire leurs propres éloges, d'où l'impérieuse nécessité d'aligner à leur coté des professionnels de l'information comme des directeurs de publication et des rédacteurs en chef appelés à jouer le rôle de modérateurs chargés de mettre à rude épreuve leur vis-à-vis officiel, notamment en le prenant de court pas des questions frappantes portant sur la gestion scabreuse de leur département. Pour en venir au vif du sujet, la télévision aurait certes gagné plus de notoriété si elle s'était accordée suffisamment de temps pour la réussite de cette émission qui selon des téléspectateurs très avertis n'en finit pas d'être boycottée au fil des jours en raison des imperfections constatées. Pourtant, à ses débuts, l'émission El Messar avait connu un succès qui est allé crescendo jusqu'au jour où criant très vite victoire, la télévision allait verser dans des programmes qui cherchent plus à mettre en valeur le profil du ministre invité que l'embarrasser par des journalistes faits pour déranger. Ainsi, la télévision avait voulu façonner l'émission en adressant l'invitation dictée par le ministère de " consignation " à qui lui semble bon.
Plus grave encore, la télévision a outrepassé ses prérogatives en voulant imposer ses choix des journalistes modérateurs sans la moindre concertation avec le comité de rédaction de telle ou telle publication. Lorsque le journal " Points chauds " a été prié par le biais de sa directrice de publication de participer à la dite émission 30 mn avant son enregistrement, il a convoqué d'urgence à une réunion de son comité de rédaction pour déléguer la personne la mieux habilitée à une émission d'importance incontestable pour le pays et qui porte sur un secteur peu connu à savoir les nouvelles technologies. Et comme l'invité de marque de l'émission El Messar, n'était autre que la Secrétaire d'Etat chargée des Technologies Nouvelles Mme Mognana Mohamed Sow Deina, la direction du journal a décidé de charger M. Adel Ould Sejad de représenter le journal Points Chauds dans l'émission.
Plusieurs raisons avaient plaidé pour ce choix dont la détention par l'intéressé d'une maîtrise en informatique et une connaissance large des technologies nouvelles, sans compter bien ses compétences en matière de journalisme. Mais à sa grande surprise, la direction du journal s'est vue signifiée que celle la Directrice Mme Ezza est autorisée à se présenter. A ce stade, la télévision ne peut s'obstiner dans sa décision de refuser l'accès au studio de notre collaborateur M. Adel Ould Sejad ; à moins qu'elle cherche à tout prix à ne pas embarrasser Mme la Secrétaire d'Etat aux Technologies Nouvelles. Autant dire que ce n'est point l'objectif recherché par l'émission tel qu'il se dégage des témoignages recueillis auprès de ses principaux admirateurs. Du coup, El Messar change de cadre purement critique visant à informer l'opinion publique sur des questions d'intérêt capital à un cadre strictement promotionnel où les membres du gouvernement ne trouvent pas beaucoup de peine à étaler leurs fausses réalisations, à se mettre en valeur et accroître leur assise aux yeux du grand public ; lequel se prête parfaitement à l'escroquerie.
Par ailleurs, il y a lieu de souligner que la télévision de Mauritanie ne serait pas la seule dans cette ligne de mire. En effet, le ministère de tutelle, en l'occurrence celui de la Communication serait pour beaucoup dans cette quête de renommée dont seuls nos ministères en perte de vitesse en savent les secrets. Pour l'anecdote, ce ministère n'avait t-il pas par le passé dévoiler au grand jour ses actes très décriés dans les milieux de l'information lors de la mise en place de la commission consultative pour la liberté de la presse ? Une commission qui a été contestée par toutes les publications reconnues pour leur régularité dans les kiosques. On en arrive donc à la conclusion selon laquelle, ni la télévision, ni le ministère de la Communication ne doivent décider en lieu et place du journal, notamment quand ce dernier pourrait bien designer la personne devant le représenter pour tel ou tel événement. Une telle démarche serait une mesure extérieure au journal qu'on veut lui imposer alors que la structure même d'une publication la soumet à la condition de convoquer en réunion le comité de rédaction, même d'urgence pour décider de la suite à prendre pour un travail pouvant concerner le journal.
Autre erreur flagrante des chargés de l'émission d'El Messar, c'est d'avoir puisé des journalistes à la place d'autres notamment en se contentant de convier le premier journaliste d'autres publications qui se présente en lieu et place des journalistes de Points Chauds qui de droit ont été désigné pour animer l'émission
Même si au bout du compte, la télévision a pu réaliser contre vents et marrées son émission El Messar, comme elle semble le faire comprendre, elle en a récolté les mauvais dividendes en alignant des journalistes arabophones à côté d'un officiel ne parlant que la langue de Molière. Les téléspectateurs qui ont eu à suivre l'émission d'El Messar ce soir là, on eu bien des grincements de dents pour les confusions et incompréhensions entre l'invité officiel et les modérateurs. L'émission ressemblait au mieux à un dialogue de sourds où le présentateur est le seul à avoir le dernier mot. Autant dire que la Secrétaire d'Etat aux Technologies Nouvelles était très à son aise pour bien de raisons à savoir celles de ne pas être en présence de journalistes bien informés sur ce qui se mijote dans son portefeuille ministériel d'une part et d'autre part de s'en tenir seulement à ce qui lui semble bon.
Pour terminer, nous tiendrons à rappeler au ministère de la Communication et à la télévision que le journal Points Chauds ne reviendrait guère sur sa méthodologie de travail qui consiste à associer l'équipe du journal aux orientations de la direction. Une mesure qui est connue et incontournable pour une publication qui veut faire de la réussite son credo. Ceci est d'autant plus vrai que l'échec des journaux trouve son explication dans l'absence de concertation au sein d'une même équipe et où la réussite trouve sa raison d'être dans le travail de groupe. Il n'en demeure pas moins que Points Chauds, après avoir mené d'intenses investigations a fini par avoir des informations sur cette main invisible, D'ailleurs, cette main invisible n'est pas à sa première bévue, car c'est bien elle qui a ordonné la censure d'une question soulevée par notre journal lors de cette mémorable et première conférence de presse de son genre organisée par le président du CMJD et Chef de l'Etat, le Colonnel Ely Ould Mohamed Vall au Palais Présidentiel.
Autre aspect très instructif sur les limites de l'émission El Messar, c'est celui qui porte sur l'invitation des journalistes 30 minutes seulement avant le commencement de l'émission. Déjà extenués par les affres de la profession, ces journalistes se présentent sans la moindre préparation d'où leur tendance à poser des questions bidons. Cela pourrait bien donner à matière de spéculation au présentateur de l'émission qui a tout préparé depuis une semaine aux fins de se faire remarquer, d'embarrasser ses interlocuteurs officiels ou les ménager.
Ainsi , en réponse aux intentions malveillantes du ministère de la communication portant sur la mainmise sur notre journal, son diktat et sa subordination à ses caprices, nous lui faisons comprendre que Points Chauds dispose d'une direction générale qui est seule habilitée à se prononcer sur des actions du journal. Et puis le poste ministériel est fait pour servir le pays et le citoyen et non pour des règlements des comptes personnels. A cela s'ajoute qu'un responsable d'Etat doit avoir un minimum d'équité dans les traitements entre ses compatriotes
A bon entendeur salut
La Direction Générale
Source POINTS CHAUDS
www.pointschauds.info
Tout a commencé avec les émissions de la radio et de la télévision en passant par les conférences de presse dont celle organisée par le représentant du FMI, et l'arrivée de du Président où à notre surprise générale, on a remarqué qu'on a bien voulu passer l'événement sans nous parce que il y a presque un mois notre publication a livré à l'opinion mauritanien un dossier sur l'affaire " Me Seye " ou comme appelé à Dakar " le WadeGate ". Sans oublier la visite du Président Malien où encore la publication était mise à l'écart
Au rythme où les choses en sont, il n'est pas étonnant de voir le ministère de l'intérieur, des postes et télécommunications verser dans les mêmes dérives. Veut-on par là nous signifier que nous ne pouvons faire une couverture médiatique comme les autres journaux ? Sinon nous mettre des bâtons sous les pieds pour avoir, sur la base d'une rumeur persistance relative à un remaniement ministériel, cité son nom dans la liste des ministres partants. Un pronostic qui s'est avéré par la suite erroné ou annulé. Ainsi pour dire, on en arrive à dire qu'il y a une volonté inexpliquée de vouloir abattre " Points Chauds ", à défaut de ne pas avoir une mainmise sur sa ligne rédactionnelle qu'il s'est érigée en règle. Serait ce, rien que parce que comme toute publication digne de ce nom, il dérange. Ce qu'il faut à tout prix mettre à l'écart pour son insoumission.
Par ailleurs, des sources proches du ministère de la communication ont bien confirmé cet acharnement qui dénote d'une discrimination manifeste et contraire aux orientations du Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie et du Gouvernement de transition, lesquels martèlent à coup de conférences de presse le traitement sur le même pied d'égalité. Ceci est d'autant plus vrai si l'on sait que tout le monde s'attend à être en présence d'une administration qui fait de la transparence son cheval de bataille ; alors que le Ministère de la communication s'écarte de cette droite ligne devant caractériser son action en manquant à la sacro sainte règle de traitement sur le même pied d'égalité les journaux. Tout a commencé avec cette célèbre émission d' "El Messar" où des hommes du pouvoir, notamment des membres du gouvernement sont invités pour parler, non sans beaucoup de peine des portefeuilles ministériels relevant de leur domaine de compétence.
A ce stade, il n'était point attendu de ces derniers que faire leurs propres éloges, d'où l'impérieuse nécessité d'aligner à leur coté des professionnels de l'information comme des directeurs de publication et des rédacteurs en chef appelés à jouer le rôle de modérateurs chargés de mettre à rude épreuve leur vis-à-vis officiel, notamment en le prenant de court pas des questions frappantes portant sur la gestion scabreuse de leur département. Pour en venir au vif du sujet, la télévision aurait certes gagné plus de notoriété si elle s'était accordée suffisamment de temps pour la réussite de cette émission qui selon des téléspectateurs très avertis n'en finit pas d'être boycottée au fil des jours en raison des imperfections constatées. Pourtant, à ses débuts, l'émission El Messar avait connu un succès qui est allé crescendo jusqu'au jour où criant très vite victoire, la télévision allait verser dans des programmes qui cherchent plus à mettre en valeur le profil du ministre invité que l'embarrasser par des journalistes faits pour déranger. Ainsi, la télévision avait voulu façonner l'émission en adressant l'invitation dictée par le ministère de " consignation " à qui lui semble bon.
Plus grave encore, la télévision a outrepassé ses prérogatives en voulant imposer ses choix des journalistes modérateurs sans la moindre concertation avec le comité de rédaction de telle ou telle publication. Lorsque le journal " Points chauds " a été prié par le biais de sa directrice de publication de participer à la dite émission 30 mn avant son enregistrement, il a convoqué d'urgence à une réunion de son comité de rédaction pour déléguer la personne la mieux habilitée à une émission d'importance incontestable pour le pays et qui porte sur un secteur peu connu à savoir les nouvelles technologies. Et comme l'invité de marque de l'émission El Messar, n'était autre que la Secrétaire d'Etat chargée des Technologies Nouvelles Mme Mognana Mohamed Sow Deina, la direction du journal a décidé de charger M. Adel Ould Sejad de représenter le journal Points Chauds dans l'émission.
Plusieurs raisons avaient plaidé pour ce choix dont la détention par l'intéressé d'une maîtrise en informatique et une connaissance large des technologies nouvelles, sans compter bien ses compétences en matière de journalisme. Mais à sa grande surprise, la direction du journal s'est vue signifiée que celle la Directrice Mme Ezza est autorisée à se présenter. A ce stade, la télévision ne peut s'obstiner dans sa décision de refuser l'accès au studio de notre collaborateur M. Adel Ould Sejad ; à moins qu'elle cherche à tout prix à ne pas embarrasser Mme la Secrétaire d'Etat aux Technologies Nouvelles. Autant dire que ce n'est point l'objectif recherché par l'émission tel qu'il se dégage des témoignages recueillis auprès de ses principaux admirateurs. Du coup, El Messar change de cadre purement critique visant à informer l'opinion publique sur des questions d'intérêt capital à un cadre strictement promotionnel où les membres du gouvernement ne trouvent pas beaucoup de peine à étaler leurs fausses réalisations, à se mettre en valeur et accroître leur assise aux yeux du grand public ; lequel se prête parfaitement à l'escroquerie.
Par ailleurs, il y a lieu de souligner que la télévision de Mauritanie ne serait pas la seule dans cette ligne de mire. En effet, le ministère de tutelle, en l'occurrence celui de la Communication serait pour beaucoup dans cette quête de renommée dont seuls nos ministères en perte de vitesse en savent les secrets. Pour l'anecdote, ce ministère n'avait t-il pas par le passé dévoiler au grand jour ses actes très décriés dans les milieux de l'information lors de la mise en place de la commission consultative pour la liberté de la presse ? Une commission qui a été contestée par toutes les publications reconnues pour leur régularité dans les kiosques. On en arrive donc à la conclusion selon laquelle, ni la télévision, ni le ministère de la Communication ne doivent décider en lieu et place du journal, notamment quand ce dernier pourrait bien designer la personne devant le représenter pour tel ou tel événement. Une telle démarche serait une mesure extérieure au journal qu'on veut lui imposer alors que la structure même d'une publication la soumet à la condition de convoquer en réunion le comité de rédaction, même d'urgence pour décider de la suite à prendre pour un travail pouvant concerner le journal.
Autre erreur flagrante des chargés de l'émission d'El Messar, c'est d'avoir puisé des journalistes à la place d'autres notamment en se contentant de convier le premier journaliste d'autres publications qui se présente en lieu et place des journalistes de Points Chauds qui de droit ont été désigné pour animer l'émission
Même si au bout du compte, la télévision a pu réaliser contre vents et marrées son émission El Messar, comme elle semble le faire comprendre, elle en a récolté les mauvais dividendes en alignant des journalistes arabophones à côté d'un officiel ne parlant que la langue de Molière. Les téléspectateurs qui ont eu à suivre l'émission d'El Messar ce soir là, on eu bien des grincements de dents pour les confusions et incompréhensions entre l'invité officiel et les modérateurs. L'émission ressemblait au mieux à un dialogue de sourds où le présentateur est le seul à avoir le dernier mot. Autant dire que la Secrétaire d'Etat aux Technologies Nouvelles était très à son aise pour bien de raisons à savoir celles de ne pas être en présence de journalistes bien informés sur ce qui se mijote dans son portefeuille ministériel d'une part et d'autre part de s'en tenir seulement à ce qui lui semble bon.
Pour terminer, nous tiendrons à rappeler au ministère de la Communication et à la télévision que le journal Points Chauds ne reviendrait guère sur sa méthodologie de travail qui consiste à associer l'équipe du journal aux orientations de la direction. Une mesure qui est connue et incontournable pour une publication qui veut faire de la réussite son credo. Ceci est d'autant plus vrai que l'échec des journaux trouve son explication dans l'absence de concertation au sein d'une même équipe et où la réussite trouve sa raison d'être dans le travail de groupe. Il n'en demeure pas moins que Points Chauds, après avoir mené d'intenses investigations a fini par avoir des informations sur cette main invisible, D'ailleurs, cette main invisible n'est pas à sa première bévue, car c'est bien elle qui a ordonné la censure d'une question soulevée par notre journal lors de cette mémorable et première conférence de presse de son genre organisée par le président du CMJD et Chef de l'Etat, le Colonnel Ely Ould Mohamed Vall au Palais Présidentiel.
Autre aspect très instructif sur les limites de l'émission El Messar, c'est celui qui porte sur l'invitation des journalistes 30 minutes seulement avant le commencement de l'émission. Déjà extenués par les affres de la profession, ces journalistes se présentent sans la moindre préparation d'où leur tendance à poser des questions bidons. Cela pourrait bien donner à matière de spéculation au présentateur de l'émission qui a tout préparé depuis une semaine aux fins de se faire remarquer, d'embarrasser ses interlocuteurs officiels ou les ménager.
Ainsi , en réponse aux intentions malveillantes du ministère de la communication portant sur la mainmise sur notre journal, son diktat et sa subordination à ses caprices, nous lui faisons comprendre que Points Chauds dispose d'une direction générale qui est seule habilitée à se prononcer sur des actions du journal. Et puis le poste ministériel est fait pour servir le pays et le citoyen et non pour des règlements des comptes personnels. A cela s'ajoute qu'un responsable d'Etat doit avoir un minimum d'équité dans les traitements entre ses compatriotes
A bon entendeur salut
La Direction Générale
Source POINTS CHAUDS
www.pointschauds.info