Ibrahima Thiaw garde le poste de Secrétaire exécutif de la Convention des nations unies sur la désertification et la sécheresse (Unccd)
Ibrahima Thiaw vient d’être nommé comme chef par intérim de l’ONU pour le changement climatique en remplacement de Patricia Espinosa.
Il va assurer cette nouvelle fonction cumulativement avec son poste de Secrétaire exécutif de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification.
Diplomate chevronné, M. Thiaw Ibrahima a plus de 40 ans d’expérience dans le domaine de la gouvernance environnementale, dont 20 ans dans le système des Nations-Unies.
M. Thiaw qui est natif de Fanaye Niakwar dans le département de Tekane (Mauritanie) est entré aux Nations-Unies en 2007, comme Directeur de la Division de la mise en œuvre des politiques environnementales au sein du PNUE.
Par la suite, le fils du désert va gravir les échelons au sein de l’organisation en occupant les postes stratégiques les plus en vues.
Ainsi en 2013, face à 85 candidats, M. Thiaw devient sous-secrétaire général des Nations Unies, directeur exécutif adjoint du PNUE.
Connu pour sa rigueur et une discrétion inégalée, M. Thiaw se fait remarquer pour le rôle déterminant qu’il a joué dans l’élaboration de la vision stratégique du PNUE.
A la suite de ce passage remarqué au sein du PNUE, M. Thiaw est nommé en 2018 comme conseiller spécial du secrétaire général des nations- unies pour le Sahel.
Celui qui entre temps occupa le poste de Secrétaire exécutif, Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification en janvier 2019, est aujourd’hui nommé comme chef par intérim de l’ONU pour le changement climatique.
L’ONU pour le changement climatique ou la Convention-cadre des Nations-Unies pour les changements climatiques (CCNUCC) regroupe 197 états parties.
L’objectif de cette organisation, qui accueille en son sein l’Accord de Paris sur les changements climatiques de 2015 ou encore le protocole de Kyoto 1997, est de réduire les émissions de gaz à effet de serre en mettant fin aux pires effets des changements climatiques sur l’environnement et les équilibres socio-économiques.
Source : Kassataya
Ibrahima Thiaw vient d’être nommé comme chef par intérim de l’ONU pour le changement climatique en remplacement de Patricia Espinosa.
Il va assurer cette nouvelle fonction cumulativement avec son poste de Secrétaire exécutif de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification.
Diplomate chevronné, M. Thiaw Ibrahima a plus de 40 ans d’expérience dans le domaine de la gouvernance environnementale, dont 20 ans dans le système des Nations-Unies.
M. Thiaw qui est natif de Fanaye Niakwar dans le département de Tekane (Mauritanie) est entré aux Nations-Unies en 2007, comme Directeur de la Division de la mise en œuvre des politiques environnementales au sein du PNUE.
Par la suite, le fils du désert va gravir les échelons au sein de l’organisation en occupant les postes stratégiques les plus en vues.
Ainsi en 2013, face à 85 candidats, M. Thiaw devient sous-secrétaire général des Nations Unies, directeur exécutif adjoint du PNUE.
Connu pour sa rigueur et une discrétion inégalée, M. Thiaw se fait remarquer pour le rôle déterminant qu’il a joué dans l’élaboration de la vision stratégique du PNUE.
A la suite de ce passage remarqué au sein du PNUE, M. Thiaw est nommé en 2018 comme conseiller spécial du secrétaire général des nations- unies pour le Sahel.
Celui qui entre temps occupa le poste de Secrétaire exécutif, Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification en janvier 2019, est aujourd’hui nommé comme chef par intérim de l’ONU pour le changement climatique.
L’ONU pour le changement climatique ou la Convention-cadre des Nations-Unies pour les changements climatiques (CCNUCC) regroupe 197 états parties.
L’objectif de cette organisation, qui accueille en son sein l’Accord de Paris sur les changements climatiques de 2015 ou encore le protocole de Kyoto 1997, est de réduire les émissions de gaz à effet de serre en mettant fin aux pires effets des changements climatiques sur l’environnement et les équilibres socio-économiques.
Source : Kassataya