Nouakchott, Mauritanie (PANA) - Le Rassemblement des forces démocratiques (RFD), un parti de l'ancienne opposition à l'ancien régime mauritanien, a appelé à voter "massivement oui" en faveur des amendements constitutionnels qui seront soumis au suffrage populaire
le 25 juin prochain.
Dans une déclaration rendue publique lundi soir à Nouakchott, le parti de Ahmed Ould Daddah, candidat malheureux à deux élections présidentielles, en 1992 et 2003, a mis en avant "l'importance de la période transitoire et l'ouverture politique et démocratique dont la
Constitution soumise au référendum est l'épine dorsale".
Le RFD estime que "la Constitution, dans sa formulation proposée, est le seul moyen de garantir aux Mauritaniens une alternance pacifique au pouvoir et un tournant politique et économique permettant à tous de participer à la construction de la nation".
M. Ould Daddah a rappelé que la révision constitutionnelle à toujours été sa revendication la plus constante.
Les amendements constitutionnels qui seront soumis au vote
référendaire le 25 juin prochain proposent un mandat du président de
la République à cinq ans, renouvelable une fois, et interdisent la
révision de cette disposition par le Parlement.
le 25 juin prochain.
Dans une déclaration rendue publique lundi soir à Nouakchott, le parti de Ahmed Ould Daddah, candidat malheureux à deux élections présidentielles, en 1992 et 2003, a mis en avant "l'importance de la période transitoire et l'ouverture politique et démocratique dont la
Constitution soumise au référendum est l'épine dorsale".
Le RFD estime que "la Constitution, dans sa formulation proposée, est le seul moyen de garantir aux Mauritaniens une alternance pacifique au pouvoir et un tournant politique et économique permettant à tous de participer à la construction de la nation".
M. Ould Daddah a rappelé que la révision constitutionnelle à toujours été sa revendication la plus constante.
Les amendements constitutionnels qui seront soumis au vote
référendaire le 25 juin prochain proposent un mandat du président de
la République à cinq ans, renouvelable une fois, et interdisent la
révision de cette disposition par le Parlement.