L’échiquier politique de nos jours pour mieux nous châtier, de chicane en chimère nous traîne, aidé en cela par une échelle de choses qui vont du futile à l’insolite, investit par une catégorie d’hommes dont l’idéal se résume à former une bande de prédateurs. Ce phare devant inspirer et orienter pour nous sortir et nous soustraire du tout opposé au bien et à notre bien-être est plus que jamais un chaudron dont le déboucheur, le barboteur et autre serpentin sous l’effet du caustique résultant de notre misère.
Ce-ci à tout point de vue, qui a fini d’en ronger les canaux et celui de la pression toujours grandissante des oppresseurs d’autant que la proportion entre le profit et l’œuvre le vaut bien ; eh bien le chaudron risque de nous supplicier et de quelle manière?.
Le supplice du collier consiste à enflammer un pneumatique autour du cou de la victime avec l’intention de lui donner la mort ; dans le cas précis de notre chaudron le risque encouru est que au même titre de victimes comme celui d’auteurs nous avons le droit d’en répondre.
Notre responsabilité est établit et absolument rien ne peut empêcher le chaudron de déborder jusqu’à nous venir, détruire, nuire et parmi nous de corps gras s’enrichir voire même tout simplement nous supplicier tous. Notre responsabilité réside évidement dans le fait que plus que n’importe qui et en prime lieu consernés nous le sommes et l’absence de réactivité positive est une invite au chaudron et nous, y suicider laissant le champ libre aux prédateurs.
Ce catastrophique scénario peut être déjoué en faisant justement montre de responsabilité ; laquelle responsabilité, nous engage à investir l’échiquier politique, ce précieux lieu de jouissance intellectuel, spirituel, moral et matériel; en définitif y agir par et pour nous autres; depuis toujours nous y sommes interdits au nom du droit divin, qui veut que jamais et à jamais l’esclave n’est majeur, seulement devant l’effort au travail ordonné, le travail qui profite le prince.
Sachons que ce même travail, notre travail a depuis longtemps aliéné le prince réduit à dépendre de nous, il ruse et abuse; depuis peu en usant d’un stratagème qui consiste à poser à côté d’une idée et d’en tirer une image qui satisfait l’illusion ; plus que jamais notre prince est nu et les quelques nuées qui restent à faire de lui un éternel omnipotent nous pouvons les dissiper en soufflant un ouf consécutif à la prise de conscience de notre existence, de notre force et de notre droit, de visiter ce droit qui tant nous a manqué et marqué en nous ôtant toute espérance d’une vie digne d’être vécue.
Il aurait fallut poser des actes sensés traduire une idée, cela requiert du courage de part et d’autre, du courage de notre part et de la part du prince qui s’approprie le principe du trône et au sujet offre le supplice, ainsi jusqu’au titre de supplément au trône nous nous trouvons privés; rivés à cette place si lâchement attribuée le prince reste tributaire de l’illusoire; à vie nous devons nous approprier et faire profiter l’idée en évitant de poser à coté de celle-ci, plutôt que d’une image, d’une démocratie nous voulons réellement en posant des actes de cette idée admise par tous comme étant le meilleur des systèmes de gestion d’une cite.
La création récemment d’une opposition sensée défendre nos intérêts depuis et à partir de l’intérieur en soit est séduisante comme démarche; cependant j’ai bien peur que nous n’ayons aucun intérêt dans l’espace actuel mauritanien d’autan que jusqu’à preuve du contraire nous aspirons et courrons après une citoyenneté.
En 1989 année du bicentenaire d’une révolution, les autorités beydans, en dépolluant l’espace conquis et soumis avec l’aide de ces mêmes révolutionnaires fêtards compatriotes de l’auteur du discours sur la méthode dont le leader est auteur d’un discours soufflé depuis la baule à quelques oreilles venues des tropiques.
Ces révolutionnaires à l’oeil, à l’esprit comme à l’idéal sélectif amis et allies de ce révolutionnaire qui devait chuter devant des chiites et jusqu’à la vie perdre entre une trappe et une corde accrochée à une potence; les beydans n’avaient pas agit à la légère ce fut une œuvre véritablement scientifique, comme le fut et reste le manifeste du négro mauritanien opprimé toute première analyse patriotique et nationale dont la pertinence et le scintillement éclairent encore nos esprits.
Ce fut plus de 300.000 personnes à se retrouver au-delà des frontières, arrachées à leur terroir, en supplément du pire c'est-à-dire les assassinats, les traitements dégradants, et les humiliations, tout une panoplie de piliers rigoureusement étudiés et posés, pour servir de support et de stabilisateur d’un futur plus conforme à l’homogénéité de la nation arabe de plus en plus exigeante malgré les sacrifices qui vont de pendaisons pas confessionnelles mais racistes, à l’immolations d’humains, à l’importations d’autres exclusivement aux normes.
Après le tour du monde d’images d’une Mauritanie au faciès et au parlé unique, l’évidence est que nous sommes là bien présents prêts à nous multiplier; partout et ailleurs prouver concrètement, surtout contrairement à la propagande officielle d’une minorité minée par l’usure d’une mécanique caduque, que nous voulons et allons de manière civilisée construire un pays, un état en fonction de fondamentaux sociaux, économiques, de cultures, des attentes des hommes de cet ensemble.
Il est difficile après une absence qui remonte de 1989, de donner la directive à des personnes qui ont eu le courage de vivre de l’intérieur dans ce qu’il convient d’appeler l’enfer maure avec le souci justement d’assurer un autre avenir à tous.
Cependant il me semble que nous devons admettre que la conquête de la moindre parcelle d’un pouvoir fut-il au sein de sa propre famille requiert des alliances donc des concessions pas forcement avouables, et surtout que d’innombrables et d’incommensurables sacrifices restent à consentir.
Défier un ordre n’est pas forcement le dévoyer, le comprendre est à notre sens une toute première concession et à la fois un don de soi donc un sacrifice. Mais de quel ordre un sous-ensemble parmi d’autres dans un ensemble est-il, et de quel ordre agit-il?
S’il est vrai que notre ensemble est fragilisé par l’absence des nôtres; déportés en centaines de milliers, soit 11% de toute la population au moment des faits; autant de voix et de votes en manque au solde de notre ensemble, au moins, eh bien toute démarche allant en contre sens de l’existence et de la consolidation de l’ensemble négro-africain est criminelle; comme l’est toute démarche s’inscrivant dans le sens d’un chantage ou des voix prétendument acquises d’avance sont au centre d’un futur marché, ou l’artisan de celle-ci cherche à assurer ses arrières.
Dans une course à pieds un minimum d’aptitudes physiques est à avoir au compte de tout compétiteur. Pour exemple visitons la liste des personnes ayant rendues l’âme au stade que le père de la nation venait de nous construire avec l’aide des camarades chinois auxquels il cherchait à retirer l’adhésion des notres; que les anciennes fédérations de nos régions envoyaient, sans aucune précaution, si ce n’est que celle de la participation.
Quand le présent d’un homme rompt comme un maillon dans une chaîne, c’est son passé, à ce moment précis qui s’effondre, laissant la place, évidement à une autre vie, à une autre histoire. Sans histoires, comprenons que notre histoire, l’histoire des courageux négro africains continue et que la vie en société n’autorise aucune liberté quand au respect des règles.
Le manque de logique de certains est tout simplement criant en plus d’être mesquin; une constitution dans laquelle aucune place ne vous est faite, que vous avez décrié ne saurait vous garantir le sucées, si ce n’est d’avoir votre prenons, pour éviter les confusions suivit de celui de votre père ainsi que son nom sur la liste, que les tenants du système brandiront à l’occasion.
Dans une compétition ou combines et conspirations concourent au profit d’un système, du système beydan y participer, n’est rien d’autre que l’expression d’un souffle profond qui traduit l’adhésion de l’artisan de cet acte à ce même système, d’une part et d’autre la négation de l’existence de ce même système; je vous le concède c’est compliqué à l’exemple du personnage.
Maikor niokor DIOUF
Ce-ci à tout point de vue, qui a fini d’en ronger les canaux et celui de la pression toujours grandissante des oppresseurs d’autant que la proportion entre le profit et l’œuvre le vaut bien ; eh bien le chaudron risque de nous supplicier et de quelle manière?.
Le supplice du collier consiste à enflammer un pneumatique autour du cou de la victime avec l’intention de lui donner la mort ; dans le cas précis de notre chaudron le risque encouru est que au même titre de victimes comme celui d’auteurs nous avons le droit d’en répondre.
Notre responsabilité est établit et absolument rien ne peut empêcher le chaudron de déborder jusqu’à nous venir, détruire, nuire et parmi nous de corps gras s’enrichir voire même tout simplement nous supplicier tous. Notre responsabilité réside évidement dans le fait que plus que n’importe qui et en prime lieu consernés nous le sommes et l’absence de réactivité positive est une invite au chaudron et nous, y suicider laissant le champ libre aux prédateurs.
Ce catastrophique scénario peut être déjoué en faisant justement montre de responsabilité ; laquelle responsabilité, nous engage à investir l’échiquier politique, ce précieux lieu de jouissance intellectuel, spirituel, moral et matériel; en définitif y agir par et pour nous autres; depuis toujours nous y sommes interdits au nom du droit divin, qui veut que jamais et à jamais l’esclave n’est majeur, seulement devant l’effort au travail ordonné, le travail qui profite le prince.
Sachons que ce même travail, notre travail a depuis longtemps aliéné le prince réduit à dépendre de nous, il ruse et abuse; depuis peu en usant d’un stratagème qui consiste à poser à côté d’une idée et d’en tirer une image qui satisfait l’illusion ; plus que jamais notre prince est nu et les quelques nuées qui restent à faire de lui un éternel omnipotent nous pouvons les dissiper en soufflant un ouf consécutif à la prise de conscience de notre existence, de notre force et de notre droit, de visiter ce droit qui tant nous a manqué et marqué en nous ôtant toute espérance d’une vie digne d’être vécue.
Il aurait fallut poser des actes sensés traduire une idée, cela requiert du courage de part et d’autre, du courage de notre part et de la part du prince qui s’approprie le principe du trône et au sujet offre le supplice, ainsi jusqu’au titre de supplément au trône nous nous trouvons privés; rivés à cette place si lâchement attribuée le prince reste tributaire de l’illusoire; à vie nous devons nous approprier et faire profiter l’idée en évitant de poser à coté de celle-ci, plutôt que d’une image, d’une démocratie nous voulons réellement en posant des actes de cette idée admise par tous comme étant le meilleur des systèmes de gestion d’une cite.
La création récemment d’une opposition sensée défendre nos intérêts depuis et à partir de l’intérieur en soit est séduisante comme démarche; cependant j’ai bien peur que nous n’ayons aucun intérêt dans l’espace actuel mauritanien d’autan que jusqu’à preuve du contraire nous aspirons et courrons après une citoyenneté.
En 1989 année du bicentenaire d’une révolution, les autorités beydans, en dépolluant l’espace conquis et soumis avec l’aide de ces mêmes révolutionnaires fêtards compatriotes de l’auteur du discours sur la méthode dont le leader est auteur d’un discours soufflé depuis la baule à quelques oreilles venues des tropiques.
Ces révolutionnaires à l’oeil, à l’esprit comme à l’idéal sélectif amis et allies de ce révolutionnaire qui devait chuter devant des chiites et jusqu’à la vie perdre entre une trappe et une corde accrochée à une potence; les beydans n’avaient pas agit à la légère ce fut une œuvre véritablement scientifique, comme le fut et reste le manifeste du négro mauritanien opprimé toute première analyse patriotique et nationale dont la pertinence et le scintillement éclairent encore nos esprits.
Ce fut plus de 300.000 personnes à se retrouver au-delà des frontières, arrachées à leur terroir, en supplément du pire c'est-à-dire les assassinats, les traitements dégradants, et les humiliations, tout une panoplie de piliers rigoureusement étudiés et posés, pour servir de support et de stabilisateur d’un futur plus conforme à l’homogénéité de la nation arabe de plus en plus exigeante malgré les sacrifices qui vont de pendaisons pas confessionnelles mais racistes, à l’immolations d’humains, à l’importations d’autres exclusivement aux normes.
Après le tour du monde d’images d’une Mauritanie au faciès et au parlé unique, l’évidence est que nous sommes là bien présents prêts à nous multiplier; partout et ailleurs prouver concrètement, surtout contrairement à la propagande officielle d’une minorité minée par l’usure d’une mécanique caduque, que nous voulons et allons de manière civilisée construire un pays, un état en fonction de fondamentaux sociaux, économiques, de cultures, des attentes des hommes de cet ensemble.
Il est difficile après une absence qui remonte de 1989, de donner la directive à des personnes qui ont eu le courage de vivre de l’intérieur dans ce qu’il convient d’appeler l’enfer maure avec le souci justement d’assurer un autre avenir à tous.
Cependant il me semble que nous devons admettre que la conquête de la moindre parcelle d’un pouvoir fut-il au sein de sa propre famille requiert des alliances donc des concessions pas forcement avouables, et surtout que d’innombrables et d’incommensurables sacrifices restent à consentir.
Défier un ordre n’est pas forcement le dévoyer, le comprendre est à notre sens une toute première concession et à la fois un don de soi donc un sacrifice. Mais de quel ordre un sous-ensemble parmi d’autres dans un ensemble est-il, et de quel ordre agit-il?
S’il est vrai que notre ensemble est fragilisé par l’absence des nôtres; déportés en centaines de milliers, soit 11% de toute la population au moment des faits; autant de voix et de votes en manque au solde de notre ensemble, au moins, eh bien toute démarche allant en contre sens de l’existence et de la consolidation de l’ensemble négro-africain est criminelle; comme l’est toute démarche s’inscrivant dans le sens d’un chantage ou des voix prétendument acquises d’avance sont au centre d’un futur marché, ou l’artisan de celle-ci cherche à assurer ses arrières.
Dans une course à pieds un minimum d’aptitudes physiques est à avoir au compte de tout compétiteur. Pour exemple visitons la liste des personnes ayant rendues l’âme au stade que le père de la nation venait de nous construire avec l’aide des camarades chinois auxquels il cherchait à retirer l’adhésion des notres; que les anciennes fédérations de nos régions envoyaient, sans aucune précaution, si ce n’est que celle de la participation.
Quand le présent d’un homme rompt comme un maillon dans une chaîne, c’est son passé, à ce moment précis qui s’effondre, laissant la place, évidement à une autre vie, à une autre histoire. Sans histoires, comprenons que notre histoire, l’histoire des courageux négro africains continue et que la vie en société n’autorise aucune liberté quand au respect des règles.
Le manque de logique de certains est tout simplement criant en plus d’être mesquin; une constitution dans laquelle aucune place ne vous est faite, que vous avez décrié ne saurait vous garantir le sucées, si ce n’est d’avoir votre prenons, pour éviter les confusions suivit de celui de votre père ainsi que son nom sur la liste, que les tenants du système brandiront à l’occasion.
Dans une compétition ou combines et conspirations concourent au profit d’un système, du système beydan y participer, n’est rien d’autre que l’expression d’un souffle profond qui traduit l’adhésion de l’artisan de cet acte à ce même système, d’une part et d’autre la négation de l’existence de ce même système; je vous le concède c’est compliqué à l’exemple du personnage.
Maikor niokor DIOUF