Nouakchott, Mauritanie (PANA) - L’ex-gouverneur de la Banque centrale
de Mauritanie (BCM), Zeine Ould Zeidane, un des principaux artisans
des réformes économiques qui ont abouti, en juin, à l'adhésion de ce
pays à l'initiative dite des Pays pauvres très endettés (PPTE) et à
l'annulation de sa dette multilatérale, pourrait, en indépendant,
briguer le suffrage des Mauritaniens lors du scrutin présidentiel de
mars 2007, a-t-on appris jeudi dans son entourage.
M. Ould Zeidane, qui a été libéré mercredi de ses fonctions de
gouverneur où il a été remplacé Kane Ousmane, a une notoriété de
technocrate foncièrement honnête. Il était à la tête de la BCM depuis
2004.
Il aura, selon les professionnels, imprimé une grande transparence
dans la fourniture aux bailleurs de fonds des informations relatives
aux performances économiques de son pays.
Son départ aurait fait suite à un entretien avec le président du
Conseil militaire pour la justice et la démocratie (CMJD, junte au
pouvoir en Mauritanie) le colonel Ely Ould Mohamed Vall, qui lui
aurait signifié qu’il le libérait de ses charges afin que le
gouvernement de transition reste à cheval entre tous les candidats
potentiels aux prochaines consultations.
Plusieurs autres personnalités indépendantes et responsables de
parti se sont déjà déclarées candidates à l'élection présidentielle
de mars 2007 en Mauritanie, rappelle-t-on.
de Mauritanie (BCM), Zeine Ould Zeidane, un des principaux artisans
des réformes économiques qui ont abouti, en juin, à l'adhésion de ce
pays à l'initiative dite des Pays pauvres très endettés (PPTE) et à
l'annulation de sa dette multilatérale, pourrait, en indépendant,
briguer le suffrage des Mauritaniens lors du scrutin présidentiel de
mars 2007, a-t-on appris jeudi dans son entourage.
M. Ould Zeidane, qui a été libéré mercredi de ses fonctions de
gouverneur où il a été remplacé Kane Ousmane, a une notoriété de
technocrate foncièrement honnête. Il était à la tête de la BCM depuis
2004.
Il aura, selon les professionnels, imprimé une grande transparence
dans la fourniture aux bailleurs de fonds des informations relatives
aux performances économiques de son pays.
Son départ aurait fait suite à un entretien avec le président du
Conseil militaire pour la justice et la démocratie (CMJD, junte au
pouvoir en Mauritanie) le colonel Ely Ould Mohamed Vall, qui lui
aurait signifié qu’il le libérait de ses charges afin que le
gouvernement de transition reste à cheval entre tous les candidats
potentiels aux prochaines consultations.
Plusieurs autres personnalités indépendantes et responsables de
parti se sont déjà déclarées candidates à l'élection présidentielle
de mars 2007 en Mauritanie, rappelle-t-on.