Sans m'y attendre le moins du monde comme mauvaise nouvelle: la disparition subite de Claude K m'a bouleversée au point de ne pouvoir trouver les mots justes pour exprimer ma profonde émotion et ma grande affliction en ces douloureux moments.
Un peu dans le tard en cette douloureuse circonstance, j'adresse mes vives condoléances et mes sincères sentiments de compassion aux membres de la famille et aux proches du défunt et, à travers eux, à sa famille médiatique nationale, suite à la disparition du fondateur et administrateur du journal sur le web CRIDEM qui fut l’un des pionniers de la presse virtuelle, ayant marqué la scène médiatique nationale par ses qualités humaines, son professionnalisme, son amour sincère de la patrie et son attachement aux constantes valeurs citoyennes et démocratiques de la Nation.
Pour rappel, en quelques lignes, ce fut à la suite des élections présidentielles en Mauritanie de 2003 que notre dynamique diaspora en France et en Belgique compta parmi elle un nombre important d'hommes et de femmes, dont, Diop Moustapha, ex officier supérieur des forces armées, ex ministre et opposant au pouvoir d'alors.
Ils insufflèrent une énergie nouvelle dans l'action politique au peloton de la diaspora par la création de nouveaux outils de sensibilisation à travers le web pour la cause mauritanienne.
En Europe, c’était l’époque où des associations comme CSDM, AVOMM, AFMAF, OCVIDH, SOS ESCLAVES MAURITANIE, AFMAF, DEKALEM, AHME,... et des mouvements politiques comme FLAM, EL HOR, CONSCIENCE ET RESISTANCE... sollicitaient les regrettés Kane Seydou, Mourdo Diop, Dia Ousmane, Kébé Abdoulaye Hachim...avec d'autres illustres compatriotes venants ou vivants en Europe pour animer des conférences et des débats sous des thèmes divers et variés, dont le seul but est d'instaurer la citoyenneté et la démocratie en Mauritanie pour la stabilité pérenne de ce pays et de la sous-région.
Tous étaient les portes voix et les portes étendards de l'opposition plurielle de Mauritanie.
Cette période coïncida avec l'éclosion de la communication par le Web que les mauritaniens s’approprièrent comme arme redoutable pour mettre à nu les incohérences politiques et les disparités sociales dans notre pays, où chacun s'exprimait selon sa sensibilité du moment...
Chaque structure créa ardemment son site ou son forum ; FLAMNET, MAURITANIENET, AVOMM, FORUM DIASPORA, OCVIDH, SOS ESCLAVESMAURITANIE.ORG, EL HOR.ORG,... pour informer, pour éduquer, pour débattre virtuellement avec un engouement sans précédemment pour la prise de parole...
Ce fut à la fin de l'année 2003 ou au début de l'année 2004, que Moustaf pour les intimes demanda des contributions pour animer un site web dénommé CRIDEM crée avec des amis, dont Claude K. Les opinions et les déclarations y compris celles du pouvoir de l'époque étaient publiées selon la déontologie et la charte de ce média novateur.
Mohamed Nourredine Abdelmajid KHELOUA plus connu sous les patronyme de Claude K réveille, donc, les souvenirs des années de braise sous le régime du Colonel-Président Monsieur Maaouya Ould Sid'Amed Ould Taya, de celles des tergiversations de la transition du Colonel-Président Monsieur Ely Ould Mohamed Vall et des hésitations de la courte période du Président Monsieur SIDI Ould Cheikh Abdallahi, après que le HCE ne mette fin à tous les espoirs fondés pour une Mauritanie réconciliée et apaisée...
Claude K, Diop Moustapha et leurs promotionnaires de la Sarthe et d'ailleurs s’étaient engagés pour donner aux mauritaniens la parole avec la raison pour que leur vie soit moins pire. Cette aventure truffée d’embûches incertaines prit le dessus sur Claude K. En homme engagé avec des valeurs républicaines et ne faisant pas les choses à moitié (ancien militaire ou enfants de troupe), se heurta aux tempérament intempestifs de quelques compatriotes que Moustaf reprenait discrètement à l'occasion et bon officier (médiateur) pour lever les incompréhensions entre les convives d'un même chemin pour un long parcours vers une nouvelle Mauritanie débarrassée de l'esprit conservateur rétrograde...
Claude K était le plus investit ou « le plutôt connu de nous autres dans ce combat non violent » dans cette tâche sans précédent pour notre pays. Il savait que le désespoir est mobilisateur, et quand il est mobilisateur, il est dangereux pour la stabilité d’un peuple que tout rassemble, malgré les disparités sociales au-delà de ce qu'en dise les pessimistes et va-t’en guerre parmi les militants.
Une des vocations du regretté Claude K était la discrétion y compris avec le succès que lui procurait sa position de webmaster avec ce redoutable outil qu'est Internet par un coup de clic sur sa souris pour diffuser des nouvelles imagées sur la toile du monde virtuel mais réel pour déstabiliser toute la République.
Elle n’a jamais disparu lorsqu’il décida en citoyen du monde de s’installer avec arme et bagages en soldat de la liberté dans ce pays choisi pour l'éternité.
Par et avec le site CRIDEM, Claude K avait initié en Mauritanie un vrai dialogue social entre tou(te)s les mauritanien(ne)s et donner une image exceptionnelle de notre pays et une meilleure visibilité de l'aspiration de nos concitoyens à travers le monde.
Pour moi et bien d'autres compatriotes et amis de la Mauritanie, la disparation de notre frère et ami Claude K est une perte immense pour les mauritanien(ne)s et leur opinion libre, pour leur contradiction par le débat, pour la citoyenneté et pour la démocratie plurielle dans notre pays.
Que sa mémoire s'inscrive dans le devenir de cette vitrine de la Mauritanie au même titre que sa composante sociale, car son fondateur avait une vision du journalisme qu'il incarnait à travers son amour profond pour la Mauritanie et la défense des causes citoyennes, des valeurs démocratiques plurielles que nous tous devrions promouvoir et généraliser au sein de la presse nationale.
Baba Ould JIDDOU
Un peu dans le tard en cette douloureuse circonstance, j'adresse mes vives condoléances et mes sincères sentiments de compassion aux membres de la famille et aux proches du défunt et, à travers eux, à sa famille médiatique nationale, suite à la disparition du fondateur et administrateur du journal sur le web CRIDEM qui fut l’un des pionniers de la presse virtuelle, ayant marqué la scène médiatique nationale par ses qualités humaines, son professionnalisme, son amour sincère de la patrie et son attachement aux constantes valeurs citoyennes et démocratiques de la Nation.
Pour rappel, en quelques lignes, ce fut à la suite des élections présidentielles en Mauritanie de 2003 que notre dynamique diaspora en France et en Belgique compta parmi elle un nombre important d'hommes et de femmes, dont, Diop Moustapha, ex officier supérieur des forces armées, ex ministre et opposant au pouvoir d'alors.
Ils insufflèrent une énergie nouvelle dans l'action politique au peloton de la diaspora par la création de nouveaux outils de sensibilisation à travers le web pour la cause mauritanienne.
En Europe, c’était l’époque où des associations comme CSDM, AVOMM, AFMAF, OCVIDH, SOS ESCLAVES MAURITANIE, AFMAF, DEKALEM, AHME,... et des mouvements politiques comme FLAM, EL HOR, CONSCIENCE ET RESISTANCE... sollicitaient les regrettés Kane Seydou, Mourdo Diop, Dia Ousmane, Kébé Abdoulaye Hachim...avec d'autres illustres compatriotes venants ou vivants en Europe pour animer des conférences et des débats sous des thèmes divers et variés, dont le seul but est d'instaurer la citoyenneté et la démocratie en Mauritanie pour la stabilité pérenne de ce pays et de la sous-région.
Tous étaient les portes voix et les portes étendards de l'opposition plurielle de Mauritanie.
Cette période coïncida avec l'éclosion de la communication par le Web que les mauritaniens s’approprièrent comme arme redoutable pour mettre à nu les incohérences politiques et les disparités sociales dans notre pays, où chacun s'exprimait selon sa sensibilité du moment...
Chaque structure créa ardemment son site ou son forum ; FLAMNET, MAURITANIENET, AVOMM, FORUM DIASPORA, OCVIDH, SOS ESCLAVESMAURITANIE.ORG, EL HOR.ORG,... pour informer, pour éduquer, pour débattre virtuellement avec un engouement sans précédemment pour la prise de parole...
Ce fut à la fin de l'année 2003 ou au début de l'année 2004, que Moustaf pour les intimes demanda des contributions pour animer un site web dénommé CRIDEM crée avec des amis, dont Claude K. Les opinions et les déclarations y compris celles du pouvoir de l'époque étaient publiées selon la déontologie et la charte de ce média novateur.
Mohamed Nourredine Abdelmajid KHELOUA plus connu sous les patronyme de Claude K réveille, donc, les souvenirs des années de braise sous le régime du Colonel-Président Monsieur Maaouya Ould Sid'Amed Ould Taya, de celles des tergiversations de la transition du Colonel-Président Monsieur Ely Ould Mohamed Vall et des hésitations de la courte période du Président Monsieur SIDI Ould Cheikh Abdallahi, après que le HCE ne mette fin à tous les espoirs fondés pour une Mauritanie réconciliée et apaisée...
Claude K, Diop Moustapha et leurs promotionnaires de la Sarthe et d'ailleurs s’étaient engagés pour donner aux mauritaniens la parole avec la raison pour que leur vie soit moins pire. Cette aventure truffée d’embûches incertaines prit le dessus sur Claude K. En homme engagé avec des valeurs républicaines et ne faisant pas les choses à moitié (ancien militaire ou enfants de troupe), se heurta aux tempérament intempestifs de quelques compatriotes que Moustaf reprenait discrètement à l'occasion et bon officier (médiateur) pour lever les incompréhensions entre les convives d'un même chemin pour un long parcours vers une nouvelle Mauritanie débarrassée de l'esprit conservateur rétrograde...
Claude K était le plus investit ou « le plutôt connu de nous autres dans ce combat non violent » dans cette tâche sans précédent pour notre pays. Il savait que le désespoir est mobilisateur, et quand il est mobilisateur, il est dangereux pour la stabilité d’un peuple que tout rassemble, malgré les disparités sociales au-delà de ce qu'en dise les pessimistes et va-t’en guerre parmi les militants.
Une des vocations du regretté Claude K était la discrétion y compris avec le succès que lui procurait sa position de webmaster avec ce redoutable outil qu'est Internet par un coup de clic sur sa souris pour diffuser des nouvelles imagées sur la toile du monde virtuel mais réel pour déstabiliser toute la République.
Elle n’a jamais disparu lorsqu’il décida en citoyen du monde de s’installer avec arme et bagages en soldat de la liberté dans ce pays choisi pour l'éternité.
Par et avec le site CRIDEM, Claude K avait initié en Mauritanie un vrai dialogue social entre tou(te)s les mauritanien(ne)s et donner une image exceptionnelle de notre pays et une meilleure visibilité de l'aspiration de nos concitoyens à travers le monde.
Pour moi et bien d'autres compatriotes et amis de la Mauritanie, la disparation de notre frère et ami Claude K est une perte immense pour les mauritanien(ne)s et leur opinion libre, pour leur contradiction par le débat, pour la citoyenneté et pour la démocratie plurielle dans notre pays.
Que sa mémoire s'inscrive dans le devenir de cette vitrine de la Mauritanie au même titre que sa composante sociale, car son fondateur avait une vision du journalisme qu'il incarnait à travers son amour profond pour la Mauritanie et la défense des causes citoyennes, des valeurs démocratiques plurielles que nous tous devrions promouvoir et généraliser au sein de la presse nationale.
Baba Ould JIDDOU