Décidément, l'atmosphère de pré - campagne électorale pour la « succession au chef » qui prévaut à Nouakchott fait perdre son sang froid au système du général président Mohamed Ould Abdel Aziz qui manœuvre pour continuer à diriger notre pays par procuration, après 2019.
Comment peut-on expliquer autrement que par la nervosité de circonstance, la réaction épidermique du porte - parole de son gouvernement à la dernière sortie responsable et juste de Ibrahim Sarr, président de l’AJD/MR – parti d’opposition - qui n'a donc rien de raciste, ni d’extrémiste.
Si la justice mauritanienne était indépendante, les propos du porte – parole du gouvernement pourraient être qualifiés de diffamatoires. Le danger, c’est qu’on a le sentiment que le pouvoir ne tolère même plus que la question nationale soit mise à l’ordre du jour.
Le bon sens commande dans un climat de démocratie, qu'on admette des voix dissonantes, voire discordantes. Cela paraît être le minimum. En savoir plus sur cette réaction officielle démesurée d’un autre âge, lire la suite:
http://www.cridem.org/rechercher.php?recherche=IBRAHIMA+MOCTAR+SARR&search=ok
Source: facebook
Comment peut-on expliquer autrement que par la nervosité de circonstance, la réaction épidermique du porte - parole de son gouvernement à la dernière sortie responsable et juste de Ibrahim Sarr, président de l’AJD/MR – parti d’opposition - qui n'a donc rien de raciste, ni d’extrémiste.
Si la justice mauritanienne était indépendante, les propos du porte – parole du gouvernement pourraient être qualifiés de diffamatoires. Le danger, c’est qu’on a le sentiment que le pouvoir ne tolère même plus que la question nationale soit mise à l’ordre du jour.
Le bon sens commande dans un climat de démocratie, qu'on admette des voix dissonantes, voire discordantes. Cela paraît être le minimum. En savoir plus sur cette réaction officielle démesurée d’un autre âge, lire la suite:
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