Un immigré mauritanien vivant en Belgique, Cheikh Aboulaye Ly demande au président de la République de trouver une solution à la difficile situation des immigrés mauritaniens vivant au Benelux (Belgique, Nederland, Suède et Luxembourg) ainsi que ceux qui résident en Finlande et en Suède.
Ce mauritanien qui a joint, ce mercredi 15 mars, la rédaction du Calame déplore le fait que pour régler leur problème d’état-civil et de vote, tous les ressortissants mauritaniens installés dans ces pays, doivent se déplacer en France. Un véritable calvaire, indique-t-il.
Le déplacement est épuisant, coûteux et long (quitter Bruxelles à 5 heures du matin, faire plus de 5 heures de route), indique M. Ly avant d’ajouter : une fois à Paris, vers 10 h, le prétendant doit prendre son mal en patience pour faire la queue avec de nombreux compatriotes. Une situation qui finit par dégoûter les votants.
C’est ce parcours du combattant que nous sommes obligés de faire pour nous acquitter de nos obligations familiales mais aussi civiques, précise-il.
Face à ce calvaire, Cheikh en appelle au président Ghazwani – président de tous les mauritaniens, dont l’un des engagements électoraux était de rétablir tous les mauritaniens dans leur droits.
"Je pense que celui d’obtenir des papiers d’état-civil et de voter en font partie", selon lui.
Cet immigré Mauritanie reconnaît les efforts de l’actuel ambassadeur de Mauritanie en Belgique et qui gère les autres pays. Il règle tous les autres problèmes de ses compatriotes.
"Le seul hic demeure ces questions vitales que nous soulevons et que ce diplomate ne peut pas régler. Les mauritaniens vivant dans les pays cités réclament, comme pour les nombreux ressortissants d’autres pays africains, l’ouverture d’un centre d’état-civil à Bruxelles, capitale de l’Europe et des bureaux de vote afin de soulager ces immigrés", déclare-t-il.
Notons que ce ressortissant mauritanien vivant en Belgique depuis plusieurs années avait adressé, via un posting, une lettre ouverte au président de la République Med Cheikh Ghazwani pour attirer son attention sur le sort de ses compatriotes de la diaspora.
Source : Le Calame
Ce mauritanien qui a joint, ce mercredi 15 mars, la rédaction du Calame déplore le fait que pour régler leur problème d’état-civil et de vote, tous les ressortissants mauritaniens installés dans ces pays, doivent se déplacer en France. Un véritable calvaire, indique-t-il.
Le déplacement est épuisant, coûteux et long (quitter Bruxelles à 5 heures du matin, faire plus de 5 heures de route), indique M. Ly avant d’ajouter : une fois à Paris, vers 10 h, le prétendant doit prendre son mal en patience pour faire la queue avec de nombreux compatriotes. Une situation qui finit par dégoûter les votants.
C’est ce parcours du combattant que nous sommes obligés de faire pour nous acquitter de nos obligations familiales mais aussi civiques, précise-il.
Face à ce calvaire, Cheikh en appelle au président Ghazwani – président de tous les mauritaniens, dont l’un des engagements électoraux était de rétablir tous les mauritaniens dans leur droits.
"Je pense que celui d’obtenir des papiers d’état-civil et de voter en font partie", selon lui.
Cet immigré Mauritanie reconnaît les efforts de l’actuel ambassadeur de Mauritanie en Belgique et qui gère les autres pays. Il règle tous les autres problèmes de ses compatriotes.
"Le seul hic demeure ces questions vitales que nous soulevons et que ce diplomate ne peut pas régler. Les mauritaniens vivant dans les pays cités réclament, comme pour les nombreux ressortissants d’autres pays africains, l’ouverture d’un centre d’état-civil à Bruxelles, capitale de l’Europe et des bureaux de vote afin de soulager ces immigrés", déclare-t-il.
Notons que ce ressortissant mauritanien vivant en Belgique depuis plusieurs années avait adressé, via un posting, une lettre ouverte au président de la République Med Cheikh Ghazwani pour attirer son attention sur le sort de ses compatriotes de la diaspora.
Source : Le Calame