La coalition « Emel Mauritanie » (espoir de la Mauritanie), parti d’opposition, a estimé que la situation du pays est « dangereuse », accusant le pouvoir d’échec et d’improvisation avant d’ajouter que l’organisation d’élections dans de pareille situation est une « aventure ».
Ce constat a été fait lors d’un meeting, le premier tenu par cette nouvelle formation politique, au cours duquel elle a accusé le pouvoir « d’échec » dans la gouvernance économique, financière, le dysfonctionnement des choix politiques, l’absence de vision, le détournement des ressources naturelles notamment minière et halieutique.
Le parti ajoute que l’état nation a été détruit et ses institutions vidées de leur consistance au profit du tribalisme et du régionalisme sous la direction d’une poignée de dirigeants incompétents.
Le pays, selon le parti, traverse une série de crises multidimensionnelles accompagnées d’une déception répétée des citoyens à l’endroit des leurs aspirations légitimes, quant au respect de leurs droits fondamentaux pour l’égalité des chances et l’accès à l’état civil, au travail et à l’enseignement.
Pour la coalition l’organisation d’élections locales, à n’importe quel prix, « même avec l’accord d’une opposition apprivoisée », plonge le pays dans une aventure, quand bien même elle estime que l’organisation d’élections libres et transparentes, est appropriée à la situation actuelle caractérisée par des crises multidimensionnelles dans le pays.
Cette formation politique qui brandit le slogan de la reconstruction de l’unité nationale, « menacée plus qu’auparavant », compte le parti du front républicain pour l’unité et la démocratie, la coalition des démocrates progressistes, le changement réel, le Hirak populaire et démocratique, la Mauritanie rassembleuse et le parti la Mauritanie forte.
Des personnalités politiques, des députés en plus d’activistes politiques et jeunes opposants ont assisté à ce meeting.
Source : Sahara Médias
Ce constat a été fait lors d’un meeting, le premier tenu par cette nouvelle formation politique, au cours duquel elle a accusé le pouvoir « d’échec » dans la gouvernance économique, financière, le dysfonctionnement des choix politiques, l’absence de vision, le détournement des ressources naturelles notamment minière et halieutique.
Le parti ajoute que l’état nation a été détruit et ses institutions vidées de leur consistance au profit du tribalisme et du régionalisme sous la direction d’une poignée de dirigeants incompétents.
Le pays, selon le parti, traverse une série de crises multidimensionnelles accompagnées d’une déception répétée des citoyens à l’endroit des leurs aspirations légitimes, quant au respect de leurs droits fondamentaux pour l’égalité des chances et l’accès à l’état civil, au travail et à l’enseignement.
Pour la coalition l’organisation d’élections locales, à n’importe quel prix, « même avec l’accord d’une opposition apprivoisée », plonge le pays dans une aventure, quand bien même elle estime que l’organisation d’élections libres et transparentes, est appropriée à la situation actuelle caractérisée par des crises multidimensionnelles dans le pays.
Cette formation politique qui brandit le slogan de la reconstruction de l’unité nationale, « menacée plus qu’auparavant », compte le parti du front républicain pour l’unité et la démocratie, la coalition des démocrates progressistes, le changement réel, le Hirak populaire et démocratique, la Mauritanie rassembleuse et le parti la Mauritanie forte.
Des personnalités politiques, des députés en plus d’activistes politiques et jeunes opposants ont assisté à ce meeting.
Source : Sahara Médias