RFI - Les électeurs mauritaniens sont appelés aux urnes ce samedi 15 septembre pour des élections locales, régionales et législatives. Après une certaine désorganisation constatée lors du premier tour, ce second tour semble mieux se dérouler mais les citoyens ne se pressent pas dans les bureaux.
Les bureaux de vote ont ouvert pour la plupart à l’heure, donc à 7h30, contrairement à la confusion constatée lors du premier tour, où des électeurs avaient dû passer toute la matinée à la recherche de leurs noms sur la liste électorale et leur bureau de vote. Ce samedi matin il n’y a pas eu de grosses difficultés à ce niveau.
Nous avons, en revanche, constaté une faible affluence devant les bureaux de vote à Nouakchott. Dans le bureau où président mauritanien et son épouse ont accompli leur devoir civique, il y avait à peine une vingtaine personnes. C’est peu: lors du premier tour ils étaient près d’une centaine d’électeurs devant le bureau à la même heure.
Dans une déclaration à la presse, le président Mohamed Ould Abdel Aziz n’a pas ménagé ses adversaires de Tawassoul lors de son vote. Sans les nommer, il a parlé d’« extrémistes dangereux, véhiculant un concept destructeur pour son pays ».
Sur le plan organisationnel, ce samedi, les forces de l’ordre ont été déployées en grand nombre. Les éléments de la police routière ont même empêché certains médias dont Rfi, d’accéder à certains bureaux de vote, sans que les responsables de la commission électorale n’interviennent. Les confrères se sont dit surpris.
Par RFI
Source : RFI
Les bureaux de vote ont ouvert pour la plupart à l’heure, donc à 7h30, contrairement à la confusion constatée lors du premier tour, où des électeurs avaient dû passer toute la matinée à la recherche de leurs noms sur la liste électorale et leur bureau de vote. Ce samedi matin il n’y a pas eu de grosses difficultés à ce niveau.
Nous avons, en revanche, constaté une faible affluence devant les bureaux de vote à Nouakchott. Dans le bureau où président mauritanien et son épouse ont accompli leur devoir civique, il y avait à peine une vingtaine personnes. C’est peu: lors du premier tour ils étaient près d’une centaine d’électeurs devant le bureau à la même heure.
Dans une déclaration à la presse, le président Mohamed Ould Abdel Aziz n’a pas ménagé ses adversaires de Tawassoul lors de son vote. Sans les nommer, il a parlé d’« extrémistes dangereux, véhiculant un concept destructeur pour son pays ».
Sur le plan organisationnel, ce samedi, les forces de l’ordre ont été déployées en grand nombre. Les éléments de la police routière ont même empêché certains médias dont Rfi, d’accéder à certains bureaux de vote, sans que les responsables de la commission électorale n’interviennent. Les confrères se sont dit surpris.
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