Le collectif des veuves de militaires mauritaniens pendus le 28 novembre 1990 à Inal, dans le nord du pays et le Comité de solidarité avec les victimes de violations des droits de l'homme en Mauritanie (CSVVDHM) ont rendu public, mardi, une communiqué dans lequel ils réclament "vérité, justice, réparation et réconciliation".
Dans le communiqué publié à l'occasion de la célébration du 46ème anniversaire de l'indépendance nationale de la Mauritanie, les deux associations sollicitent le concours de tous les Mauritaniens et de la communauté internationale pour "le triomphe de la justice sur l'oppression et de la tolérance sur l'impunité".
Une trentaine de soldats et officiers négro-mauritaniens avaient été victimes d'exécutions extra-judicaires le 28 novembre 1990 dans le cadre d'une purge à caractère ethnique sous le régime de l'ex- président Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya déchu le 3 août 2005.
Les organisations mauritaniennes de défense des droits de l'homme estiment à plus de 500 le nombre de militaires tués lors de cette purge.
source : Pana
Dans le communiqué publié à l'occasion de la célébration du 46ème anniversaire de l'indépendance nationale de la Mauritanie, les deux associations sollicitent le concours de tous les Mauritaniens et de la communauté internationale pour "le triomphe de la justice sur l'oppression et de la tolérance sur l'impunité".
Une trentaine de soldats et officiers négro-mauritaniens avaient été victimes d'exécutions extra-judicaires le 28 novembre 1990 dans le cadre d'une purge à caractère ethnique sous le régime de l'ex- président Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya déchu le 3 août 2005.
Les organisations mauritaniennes de défense des droits de l'homme estiment à plus de 500 le nombre de militaires tués lors de cette purge.
source : Pana