RFI - Des cadres négro-mauritaniens victimes d’exactions extrajudiciaires entre 1986 et 1991 ont réclamé samedi 30 juin, à l’issue d’une conférence de presse dans la banlieue sud de Nouakchott, une commission nationale Vérité et Réconciliation pour solder le passif humanitaire en Mauritanie.
Ces cadres, qui ont demandé l’intervention des chefs d’Etats présents au sommet de Nouakchott, agissent dans le cadre d’une coalition contre la discrimination raciale et l’exclusion. Son président, un ancien détenu politique de la prison de Wallata, Ba Oumar Fara, énumère pour RFI les raisons d’une telle initiative.
"Nous voulons sensibiliser les chefs d’Etat. Nous voulons ouvrir un dialogue pour solder véritablement définitivement le passif mauritanien. Nous voulons qu’il y ait une commission Vérité et Réconciliation", affirme Ba Oumar Fara, président d'une coalition contre la discrimination raciale et l’exclusion.
Source : RFI
Ces cadres, qui ont demandé l’intervention des chefs d’Etats présents au sommet de Nouakchott, agissent dans le cadre d’une coalition contre la discrimination raciale et l’exclusion. Son président, un ancien détenu politique de la prison de Wallata, Ba Oumar Fara, énumère pour RFI les raisons d’une telle initiative.
"Nous voulons sensibiliser les chefs d’Etat. Nous voulons ouvrir un dialogue pour solder véritablement définitivement le passif mauritanien. Nous voulons qu’il y ait une commission Vérité et Réconciliation", affirme Ba Oumar Fara, président d'une coalition contre la discrimination raciale et l’exclusion.
Source : RFI