Selon une source particulière de l’Agence Tawary d’Information, les députés des partis de l’opposition démocratique doivent tenir une réunion d’urgence dans la nuit du dimanche 13 janvier, dans les locaux du parti Tawassoul.
Objectif : Discuter de la nouvelle situation politique du pays et étudier les voies et moyens à prendre devant ce qu’ils ont qualifié d’un « Coup d’État contre la constitutionnel en perspective », rapporte la source précitée.
A noter que face à cette situation, et selon certains organes de la presse locale, il y a un groupe de dix députés de la majorité qui se sont déclarés contre la modification de la constitution et pour la décision du Chef de l’État de ne modifier aucun article pour qu'il se représente.
Cette décision a été prise quelques heures après qu’un nombre de parlementaires de la majorité aient pris la mesure de proposer "un projet de révision des articles permettant au président de la République de se représenter pour un troisième mandat", souligne notre.
Au cours de cette réunion on verra la présence vont d’anciens députés et des leaders politiques.
Et selon une source de presse, les députés du parti Union pour la république avaient demandé un référendum constitutionnel visant à faire sauter les verrous qui empêchent l’actuel président de briguer un troisième mandat.
Des bruits et rumeurs courent, alors que le président M. Mohamed Ould Abdel Aziz a plus d'une fois déclaré qu'il respectera la constitutionnel du pays. Alors ses soutiens en général et certains membres de son gouvernement en particulier continuent de réclamer haut et fort un troisième mandat.
En plus les élus, cadres et notables de différentes wilayas du pays (Trarza, Adrar, Hodh,.....) ont tenu au courant du mois de décembre dernier, des méga-meetings au palais des congrès de Nouakchott sous le slogan: "Oui pour la continuité du régime en place".
Source : Tawary
via cridem.org
Objectif : Discuter de la nouvelle situation politique du pays et étudier les voies et moyens à prendre devant ce qu’ils ont qualifié d’un « Coup d’État contre la constitutionnel en perspective », rapporte la source précitée.
A noter que face à cette situation, et selon certains organes de la presse locale, il y a un groupe de dix députés de la majorité qui se sont déclarés contre la modification de la constitution et pour la décision du Chef de l’État de ne modifier aucun article pour qu'il se représente.
Cette décision a été prise quelques heures après qu’un nombre de parlementaires de la majorité aient pris la mesure de proposer "un projet de révision des articles permettant au président de la République de se représenter pour un troisième mandat", souligne notre.
Au cours de cette réunion on verra la présence vont d’anciens députés et des leaders politiques.
Et selon une source de presse, les députés du parti Union pour la république avaient demandé un référendum constitutionnel visant à faire sauter les verrous qui empêchent l’actuel président de briguer un troisième mandat.
Des bruits et rumeurs courent, alors que le président M. Mohamed Ould Abdel Aziz a plus d'une fois déclaré qu'il respectera la constitutionnel du pays. Alors ses soutiens en général et certains membres de son gouvernement en particulier continuent de réclamer haut et fort un troisième mandat.
En plus les élus, cadres et notables de différentes wilayas du pays (Trarza, Adrar, Hodh,.....) ont tenu au courant du mois de décembre dernier, des méga-meetings au palais des congrès de Nouakchott sous le slogan: "Oui pour la continuité du régime en place".
Source : Tawary
via cridem.org