Le peuple mauritanien vient d’approuver par le référendum du 25 juin 2006 le projet de réforme constitutionnel. Cette approbation populaire engage les acteurs politiques de notre peuple dans une dynamique de construction d’une démocratie véritable.
D’abord les autorités de la transition qui, fortes de cette approbation populaire, doivent désormais aller plus loin dans la prise en charge des problèmes fondamentaux de notre pays, et veiller à ce que les futures compétitions électorales soient les plus régulières et les plus transparentes possibles.
Ensuite les parties politiques qui doivent prendre l’engagement de travailler à l’amélioration du texte constitutionnel qui vient d’être approuvé. En tout cas, c’est le sens de l’implication des FLAM/Rénovation. Elles sont convaincues que des améliorations de nature à consacrer une égalité parfaite des langues de notre pays et une affirmation claire de son identité négro-africaine seraient le gage d’une meilleure prise en compte des aspirations de l’ensemble du peuple mauritanien, tout comme elles préviendraient d’éventuels conflits liés à la question de la cohabitation, totalement absente du texte constitutionnel.
Fait à Paris le 28/06/2006.
Pour les FLAM/Rénovation
Boubacar Tidiane DIAGANA
Chargé de la Communication et Porte-parole
D’abord les autorités de la transition qui, fortes de cette approbation populaire, doivent désormais aller plus loin dans la prise en charge des problèmes fondamentaux de notre pays, et veiller à ce que les futures compétitions électorales soient les plus régulières et les plus transparentes possibles.
Ensuite les parties politiques qui doivent prendre l’engagement de travailler à l’amélioration du texte constitutionnel qui vient d’être approuvé. En tout cas, c’est le sens de l’implication des FLAM/Rénovation. Elles sont convaincues que des améliorations de nature à consacrer une égalité parfaite des langues de notre pays et une affirmation claire de son identité négro-africaine seraient le gage d’une meilleure prise en compte des aspirations de l’ensemble du peuple mauritanien, tout comme elles préviendraient d’éventuels conflits liés à la question de la cohabitation, totalement absente du texte constitutionnel.
Fait à Paris le 28/06/2006.
Pour les FLAM/Rénovation
Boubacar Tidiane DIAGANA
Chargé de la Communication et Porte-parole