C’est en patriarche aguerri et serein que Cheikh Saad Bouh Kamara est venu au Sénégal dédicacer son œuvre Afrique : Espérance paru aux éditions L’Harmattan Mauritanie. Dans cet essai dans lequel il partage sa vision d’une Afrique consciente de sa position et qui refuse l’afro-pessimisme, ce Mauritanien, Professeur émérite en Sociologie et consultant international en développement, court le risque volontiers d’être catalogué de «donneur de leçons». Mais pour lui, l’essentiel est qu’il parvienne à ses fins : mettre l’Afrique sur les rampes de lancement du développement durable.
Dans un contexte où règne l’afro-pessimisme, faut-il le souligner, faire ce que tout le monde fait relève de l’ordinaire. Mais à la lecture des 202 pages divisées en 10 chapitres que compte l’essai L’Afrique : Espérance, l’on va à la rencontre d’un continent en réussite, loin de l’image macabre que servent les médias occidentaux. L’ouvrage de Cheikh Saad Bouh Kamara pousse vers une espérance. A la cérémonie de dédicace vendredi dernier, il affirmait : «Je préfère voir le verre à moitié rempli qu’à moitié vide.» En se basant sur des cas de succès, M. Kamara fait de l’espérance un appel à l’action pour la nouvelle génération qui a l’obligation d’agir. Allant des efforts réalisés dans le secteur de l’éducation en passant par l’essor remarquable de l’activité de la société civile jusqu’à la fulgurante ascension de la gent féminine, l’auteur passe au peigne fin la réussite de l’Afrique dans un souci de prouver qu’il est possible de voir ce continent renaître de ses cendres par une simple conscientisation de sa jeunesse.
Cela, note-t-il, passe par le triptyque : droit humain, démocratie et développement durable. Conscient de l’apport vital de la gent féminine dans la société, Cheikh Saad Bouh Kamara n’y va pas par quatre chemins. Il affirme dans un souci de poser le débat que «les hommes ont dirigé et commandé le monde, mais ont échoué, cédons la place aux femmes». Son essai littéraire est le fruit de plus de 30 ans de recherches et d’enseignement de la Sociologie en Afrique, couvrant des thèmes d’actualité socio-économique, culturelle et politique. L’auteur souhaite faire partager une autre vision de l’Afrique, prenant le contre-pied de l’afro-pessimisme ambiant à travers des bonnes pratiques, des initiatives réussies, des expériences enrichissantes, des enseignements concluants… Le journaliste Ada Kane dira que c’est dans un style simple, agréable que l’auteur traite les graves problèmes africains de l’heure.
Stagiaire-Journal lequotidien
Dans un contexte où règne l’afro-pessimisme, faut-il le souligner, faire ce que tout le monde fait relève de l’ordinaire. Mais à la lecture des 202 pages divisées en 10 chapitres que compte l’essai L’Afrique : Espérance, l’on va à la rencontre d’un continent en réussite, loin de l’image macabre que servent les médias occidentaux. L’ouvrage de Cheikh Saad Bouh Kamara pousse vers une espérance. A la cérémonie de dédicace vendredi dernier, il affirmait : «Je préfère voir le verre à moitié rempli qu’à moitié vide.» En se basant sur des cas de succès, M. Kamara fait de l’espérance un appel à l’action pour la nouvelle génération qui a l’obligation d’agir. Allant des efforts réalisés dans le secteur de l’éducation en passant par l’essor remarquable de l’activité de la société civile jusqu’à la fulgurante ascension de la gent féminine, l’auteur passe au peigne fin la réussite de l’Afrique dans un souci de prouver qu’il est possible de voir ce continent renaître de ses cendres par une simple conscientisation de sa jeunesse.
Cela, note-t-il, passe par le triptyque : droit humain, démocratie et développement durable. Conscient de l’apport vital de la gent féminine dans la société, Cheikh Saad Bouh Kamara n’y va pas par quatre chemins. Il affirme dans un souci de poser le débat que «les hommes ont dirigé et commandé le monde, mais ont échoué, cédons la place aux femmes». Son essai littéraire est le fruit de plus de 30 ans de recherches et d’enseignement de la Sociologie en Afrique, couvrant des thèmes d’actualité socio-économique, culturelle et politique. L’auteur souhaite faire partager une autre vision de l’Afrique, prenant le contre-pied de l’afro-pessimisme ambiant à travers des bonnes pratiques, des initiatives réussies, des expériences enrichissantes, des enseignements concluants… Le journaliste Ada Kane dira que c’est dans un style simple, agréable que l’auteur traite les graves problèmes africains de l’heure.
Stagiaire-Journal lequotidien