NOUAKCHOTT - Les services de sécurité mauritaniens ont interpellé plusieurs dizaines de membres présumés et de partisans du GSPC, groupe rebelle islamiste lié à Al Qaïda, qui préparaient des attentats, a-t-on appris vendredi de source proche des services de sécurité mauritaniens.
Les arrestations sont intervenues lors d'une chasse à l'homme lancée pour retrouver trois membres présumés du Groupe salafiste pour la prédication et le combat, basé en Algérie, qui s'étaient échappés d'une prison de Nouakchott, la capitale mauritanienne, le 27 avril.
Au moins deux des personnes arrêtées sont soupçonnées d'avoir tué 15 soldats mauritaniens lors d'une attaque menée en juin 2005 contre un poste militaire isolé, tandis qu'un autre est accusé d'appartenance à une cellule d'Al Qaïda à Barcelone, ajoute-t-on de même source.
Le journal mauritanien El Alam rapporte vendredi que trois personnes arrêtées cette semaine ont avoué avoir collaboré avec le GSPC, et l'un d'eux a dit avoir participé aux attentats du 11 mars 2004 dans les gares madrilènes, ainsi qu'aux attentats de l'été 1998 contre les ambassades des Etats-Unis au Kenya et en Tanzanie.
"Les trois Mauritaniens ont avoué qu'ils étaient sous les ordres de Mokhtar Belmokhtar (un membre éminent du GSPC), et que l'un d'eux avait pris part aux attentats de Madrid et à l'attentat contre l'ambassade des Etats-Unis à Nairobi", écrit El Alam.
Les arrestations sont intervenues lors d'une chasse à l'homme lancée pour retrouver trois membres présumés du Groupe salafiste pour la prédication et le combat, basé en Algérie, qui s'étaient échappés d'une prison de Nouakchott, la capitale mauritanienne, le 27 avril.
Au moins deux des personnes arrêtées sont soupçonnées d'avoir tué 15 soldats mauritaniens lors d'une attaque menée en juin 2005 contre un poste militaire isolé, tandis qu'un autre est accusé d'appartenance à une cellule d'Al Qaïda à Barcelone, ajoute-t-on de même source.
Le journal mauritanien El Alam rapporte vendredi que trois personnes arrêtées cette semaine ont avoué avoir collaboré avec le GSPC, et l'un d'eux a dit avoir participé aux attentats du 11 mars 2004 dans les gares madrilènes, ainsi qu'aux attentats de l'été 1998 contre les ambassades des Etats-Unis au Kenya et en Tanzanie.
"Les trois Mauritaniens ont avoué qu'ils étaient sous les ordres de Mokhtar Belmokhtar (un membre éminent du GSPC), et que l'un d'eux avait pris part aux attentats de Madrid et à l'attentat contre l'ambassade des Etats-Unis à Nairobi", écrit El Alam.