Une partie de la presse épinglée A la veille de la célébration de l'anniversaire du 03 août qui a vu l'avènement du CMJD et d'un gouvernement de transition dont le but est de remettre le pays sur les rails, le chef de l'état a tenu ce mardi soir à la Présidence de la République une conférence de presse à laquelle étaient conviés tous les organes de presse de la place. Néanmoins on aura noté l'absence de certains journaux qui se croient plus importants que les autres et qui s'arrogent le droit de couverture exclusif des manifestations officielles.
A une question bien « programmée » sur le soit disant boycott de certains journaux, le Chef de l'Etat a déclaré qu'il n'a remarqué l'absence et a exprimé son étonnement face à l'attitude de ces journalistes qui se permettent de vouloir exclure des confrères.
Pour lui, les absentéistes sont libres de venir ou de ne pas cette conférence de presse mais ils n'ont pas le droit de vouloir priver
D'autres dont le seul tort est de vouloir couvrir un fait d'une brûlante actualité. Et que le Président se voit étonné que ce journaliste délaisse un des droits les plus fondamentaux de la profession qui est "Le droit d'être informé et d'informer" Par cette réponse le Président minimisait l'absence de ces organes de presse qui se considèrent comme les seules valables. Cette affaire repose une fois de plus le problème de la presse en Mauritanie qui malgré l'adoption d'une nouvelle loi régissant le secteur demeure dans l'anarchie totale. En effet au vu de Cette nouvelle loi, aucun journal de la place n'est aux normes et du coté des autorités on continue à tergiverser. L'application de cette loi qui considéré par une grande majorité de la presse comme étant une loi dangereuse . Cette loi attend toujours et il semblerait que des entiers du secteur font du lobbying et oeuvrent en coulisses pour retarder cette application qui risquerait de mettre en péril l'existence précaire de leurs journaux. Quoiqu'il en soit à l'heure qu'il est, tous les journaux de la place sont à mettre dans le même sac avec des difficultés structurelles criantes donc il est tout à fait curieux que certains s'arrangent des droits spéciaux au point de se liguer contre d'autres. Makho
Note: © Copyright Points Chauds
http://www.ocvidh.org
A une question bien « programmée » sur le soit disant boycott de certains journaux, le Chef de l'Etat a déclaré qu'il n'a remarqué l'absence et a exprimé son étonnement face à l'attitude de ces journalistes qui se permettent de vouloir exclure des confrères.
Pour lui, les absentéistes sont libres de venir ou de ne pas cette conférence de presse mais ils n'ont pas le droit de vouloir priver
D'autres dont le seul tort est de vouloir couvrir un fait d'une brûlante actualité. Et que le Président se voit étonné que ce journaliste délaisse un des droits les plus fondamentaux de la profession qui est "Le droit d'être informé et d'informer" Par cette réponse le Président minimisait l'absence de ces organes de presse qui se considèrent comme les seules valables. Cette affaire repose une fois de plus le problème de la presse en Mauritanie qui malgré l'adoption d'une nouvelle loi régissant le secteur demeure dans l'anarchie totale. En effet au vu de Cette nouvelle loi, aucun journal de la place n'est aux normes et du coté des autorités on continue à tergiverser. L'application de cette loi qui considéré par une grande majorité de la presse comme étant une loi dangereuse . Cette loi attend toujours et il semblerait que des entiers du secteur font du lobbying et oeuvrent en coulisses pour retarder cette application qui risquerait de mettre en péril l'existence précaire de leurs journaux. Quoiqu'il en soit à l'heure qu'il est, tous les journaux de la place sont à mettre dans le même sac avec des difficultés structurelles criantes donc il est tout à fait curieux que certains s'arrangent des droits spéciaux au point de se liguer contre d'autres. Makho
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