Des leaders politiques mauritaniens se sont déclarés optimistes sur le processus démocratique en cours dans leur pays. Ils l’ont exprimé à Dakar dans le cadre de l’exécution du programme sur le renforcement du leadership politique mauritanien initié par le National democratic institute (Ndi), en partenariat avec la fondation Friedrich Ebert.
8 partis ou coalitions de partis politiques mauritaniens séjournent à Dakar pour s’inspirer de l’expérience sénégalaise en matière de démocratie. Il s’agit, entre autres, du Parti républicain pour la démocratie et le renouveau (Prdr), de l’Union des forces progressistes (Ufp), de l’Alliance populaire progressiste (App), de l’Union pour la démocratie et le progrès (Udp).
La rencontre est initiée par la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho), en partenariat avec la fondation Friedrich Ebert. Selon Alioune Tine, secrétaire général de la Raddho, cette rencontre entre dans le cadre du programme pour le renforcement du leadership politique en Mauritanie, initié par le National démocratic institute (Ndi) pour des transitions démocratiques.
Il s’agit, pour M. Tine, de prendre contact avec la société civile et les acteurs politiques pour essayer de s’inspirer des transitions démocratiques et des modèles démocratiques comme le Sénégal, le Mali et le Niger.
Les leaders politiques mauritaniens ont souligné que depuis le 3 août dernier, date de l’arrivée du Comité militaire pour la justice et la démocratie (Cmjd) au pouvoir, la Mauritanie a ouvert « une nouvelle page sous de bons auspices ». Cet acquis doit, selon eux, « être renforcé et préservé ». « L’objectif est de réussir une transition démocratique en organisant des élections démocratiques », soulignent-ils.
Alioune Tine, qui a encouragé les acteurs politiques mauritaniens, a annoncé l’organisation dans le courant du mois de mai d’un séminaire axé sur le thème « Paix, vérité et réconciliation » au Maroc.
Cette rencontre sera organisée par la Raddho, en collaboration avec la Fondation Ebert de Dakar et celle du Maroc. Ces assises vont favoriser, à son avis, le dialogue entre les acteurs politiques, la société civile et les réfugiés mauritaniens. L’Afrique du Sud, qui a une riche expérience dans ce domaine, est invité. Par ailleurs, la rencontre va permettre des échanges qui pourraient aboutir à des résolutions qui aideront les Mauritaniens à retrouver leur travail, leur place et leurs maisons, a dit M. Tine.
8 partis ou coalitions de partis politiques mauritaniens séjournent à Dakar pour s’inspirer de l’expérience sénégalaise en matière de démocratie. Il s’agit, entre autres, du Parti républicain pour la démocratie et le renouveau (Prdr), de l’Union des forces progressistes (Ufp), de l’Alliance populaire progressiste (App), de l’Union pour la démocratie et le progrès (Udp).
La rencontre est initiée par la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho), en partenariat avec la fondation Friedrich Ebert. Selon Alioune Tine, secrétaire général de la Raddho, cette rencontre entre dans le cadre du programme pour le renforcement du leadership politique en Mauritanie, initié par le National démocratic institute (Ndi) pour des transitions démocratiques.
Il s’agit, pour M. Tine, de prendre contact avec la société civile et les acteurs politiques pour essayer de s’inspirer des transitions démocratiques et des modèles démocratiques comme le Sénégal, le Mali et le Niger.
Les leaders politiques mauritaniens ont souligné que depuis le 3 août dernier, date de l’arrivée du Comité militaire pour la justice et la démocratie (Cmjd) au pouvoir, la Mauritanie a ouvert « une nouvelle page sous de bons auspices ». Cet acquis doit, selon eux, « être renforcé et préservé ». « L’objectif est de réussir une transition démocratique en organisant des élections démocratiques », soulignent-ils.
Alioune Tine, qui a encouragé les acteurs politiques mauritaniens, a annoncé l’organisation dans le courant du mois de mai d’un séminaire axé sur le thème « Paix, vérité et réconciliation » au Maroc.
Cette rencontre sera organisée par la Raddho, en collaboration avec la Fondation Ebert de Dakar et celle du Maroc. Ces assises vont favoriser, à son avis, le dialogue entre les acteurs politiques, la société civile et les réfugiés mauritaniens. L’Afrique du Sud, qui a une riche expérience dans ce domaine, est invité. Par ailleurs, la rencontre va permettre des échanges qui pourraient aboutir à des résolutions qui aideront les Mauritaniens à retrouver leur travail, leur place et leurs maisons, a dit M. Tine.