- Concernant la privation des libertés, le CMJD est entrain d’y remédier petit à petit à travers des journées nationales de concertation organisées en Octobre et dont les recommandations sont entrain d’être appliquées : la révision de la constitution, la mise en place d’une commission électorale nationale indépendante, la fixation d’un calendrier électoral pour le référendum, les élections législatives, municipales et l’élection présidentielle.
Lorsque ces recommandations atteindront leur terme, on peut espérer que la situation des libertés va s’améliorer.
- Concernant les drames humains crées par l’ancien régime, les autorités de la transition les ont exclu purement et simplement de leur agenda et ne s’orientent pas vers leur règlement à savoir le retour des déportés, la lumière sur les exécution extrajudiciaires de civils et militaires de 1986 à 1991, la question de l’esclavage. Pourtant, le règlement de certains de ces problèmes aurait pu donner davantage de crédibilité à la transition.
Dans le contexte actuel, les mauritaniens vont organiser des élections sans les déportés, ce qui fait que ces élections seront contestables parce qu’elles excluent une partie du peuple.
Dans le même sens, les autorités de la transition n’ont pas encore mis en place la commission nationale chargée des droits de l’homme.
De même, de gros efforts restent à faire pour mettre fin à l’impunité qui prévaut. Récemment, le Président du Bloc des Partis pour le Changement a fait l’objet d’une menace de mort par deux individus connus et identifiés et qui lui ont intimé l’ordre de ne plus parler de politique. Ce dernier a porté plainte au commissariat de Police de Tevragh Zeina, mais les auteurs de cette menace tout comme les responsables des exécutions extrajudiciaires de l’ancien régime continuent à circuler librement et ne sont nullement inquiétés. Le Bloc a adressé une lettre aux autorités compétentes pour demander la protection du Président du Bloc et jusqu’ici elle reste sans suite.
Nous sommes donc devant autant de faits qui continuent de nous préoccuper à l’intérieur d’un climat politique général caractérisé, cependant, par une nette amélioration même si l’ancien système est toujours là. Le Bloc des Partis pour le Changement souhaite l’amélioration des relations entre le peuple Mauritanien et le peuple américain et exhorte les autorités de la transition à s’engager résolument en faveur de l’arrêt de l’impunité dans notre pays. C’est seulement dans le cadre d’un tel engagement que notre pays pourra lutter efficacement contre le terrorisme international.
- Alliance pour la Justice et la Démocratie (AJD)
Cissé Amadou Cheikhou
Tél. : 647 41 35
- Parti Mauritanien pour la Défense de l’Environnement (PMDE) les Verts
Mohamed Ould Sidi Ould Dellahi
Tél. 631 40 02 / 655 42 07
- Parti pour la Liberté, l’Egalité et la Justice (PLEJ)
Bâ Mamadou Alassane
Tél. : 687 26 76
- Parti Travailliste Mauritanien (PTM)
Mohamed El Hafed Ould Denna
Tél. : 644 12 33
Le Président du Bloc des partis pour le Changement (BPC)
Mohamed Ould Sidi Ould Dellahi
Lorsque ces recommandations atteindront leur terme, on peut espérer que la situation des libertés va s’améliorer.
- Concernant les drames humains crées par l’ancien régime, les autorités de la transition les ont exclu purement et simplement de leur agenda et ne s’orientent pas vers leur règlement à savoir le retour des déportés, la lumière sur les exécution extrajudiciaires de civils et militaires de 1986 à 1991, la question de l’esclavage. Pourtant, le règlement de certains de ces problèmes aurait pu donner davantage de crédibilité à la transition.
Dans le contexte actuel, les mauritaniens vont organiser des élections sans les déportés, ce qui fait que ces élections seront contestables parce qu’elles excluent une partie du peuple.
Dans le même sens, les autorités de la transition n’ont pas encore mis en place la commission nationale chargée des droits de l’homme.
De même, de gros efforts restent à faire pour mettre fin à l’impunité qui prévaut. Récemment, le Président du Bloc des Partis pour le Changement a fait l’objet d’une menace de mort par deux individus connus et identifiés et qui lui ont intimé l’ordre de ne plus parler de politique. Ce dernier a porté plainte au commissariat de Police de Tevragh Zeina, mais les auteurs de cette menace tout comme les responsables des exécutions extrajudiciaires de l’ancien régime continuent à circuler librement et ne sont nullement inquiétés. Le Bloc a adressé une lettre aux autorités compétentes pour demander la protection du Président du Bloc et jusqu’ici elle reste sans suite.
Nous sommes donc devant autant de faits qui continuent de nous préoccuper à l’intérieur d’un climat politique général caractérisé, cependant, par une nette amélioration même si l’ancien système est toujours là. Le Bloc des Partis pour le Changement souhaite l’amélioration des relations entre le peuple Mauritanien et le peuple américain et exhorte les autorités de la transition à s’engager résolument en faveur de l’arrêt de l’impunité dans notre pays. C’est seulement dans le cadre d’un tel engagement que notre pays pourra lutter efficacement contre le terrorisme international.
- Alliance pour la Justice et la Démocratie (AJD)
Cissé Amadou Cheikhou
Tél. : 647 41 35
- Parti Mauritanien pour la Défense de l’Environnement (PMDE) les Verts
Mohamed Ould Sidi Ould Dellahi
Tél. 631 40 02 / 655 42 07
- Parti pour la Liberté, l’Egalité et la Justice (PLEJ)
Bâ Mamadou Alassane
Tél. : 687 26 76
- Parti Travailliste Mauritanien (PTM)
Mohamed El Hafed Ould Denna
Tél. : 644 12 33
Le Président du Bloc des partis pour le Changement (BPC)
Mohamed Ould Sidi Ould Dellahi