Le député Biram Dah Abeid, candidat à la dernière élection présidentielle, a appelé les Mauritaniens à s’unir et à rejeter la division, rejetant l’existence d’une quelconque persécution visant une composante sociale spécifique.
Dans une déclaration à la chaîne Sahara24, Biram a affirmé qu’un groupe restreint, décrit comme « de sombres et faux bienfaiteurs qui pillent l’argent, truquent les élections et mentent au peuple contrôlent la situation et appauvrissent tout le monde ».
Biram, arrivé en deuxième position lors de la dernière élection présidentielle, a ajouté que le peuple mauritanien devait être uni dans cette crise et continuer à la rejeter courageusement et pacifiquement les résultats de l’élection.
Il a affirmé qu’il est « un homme dur mais conciliant et ouvert au dialogue, en raison de sa nature pacifique, exprimant sa disposition au dialogue avec le régime, s’il veut désamorcer la crise ».
Il a appelé à la formation d’organes consensuels pour superviser les élections et revoir tout le processus électoral, ajoutant que les mauritaniens n’ont pas confiance dans les organes qui supervisent les élections, dirigés par des personnes connues, choisies et affiliées au régime.
Source : Sahara Médias
- Mauritanie
Dans une déclaration à la chaîne Sahara24, Biram a affirmé qu’un groupe restreint, décrit comme « de sombres et faux bienfaiteurs qui pillent l’argent, truquent les élections et mentent au peuple contrôlent la situation et appauvrissent tout le monde ».
Biram, arrivé en deuxième position lors de la dernière élection présidentielle, a ajouté que le peuple mauritanien devait être uni dans cette crise et continuer à la rejeter courageusement et pacifiquement les résultats de l’élection.
Il a affirmé qu’il est « un homme dur mais conciliant et ouvert au dialogue, en raison de sa nature pacifique, exprimant sa disposition au dialogue avec le régime, s’il veut désamorcer la crise ».
Il a appelé à la formation d’organes consensuels pour superviser les élections et revoir tout le processus électoral, ajoutant que les mauritaniens n’ont pas confiance dans les organes qui supervisent les élections, dirigés par des personnes connues, choisies et affiliées au régime.
Source : Sahara Médias
- Mauritanie