Le Conseil Constitutionnel de Mauritanie a installé lundi le président et les membres du Conseil de Supervision de l’opposition, au cours d’une audience solennelle conduite par son président, maître Sghair Ould M’Bareck.
Le conseil de Supervision de l’Opposition est présidé par El Hacen Ould Mohamed Brahim, maire de la commune d’Arafat (proche banlieue de Nouakchott), issu du Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (RNRD/Tawassoul/mouvance islamiste).
Il comprend deux (2) autres membres: Boydiel Ould Houmeid, député et leader du Parti Démocratique et Social (EL Wiam) et Saoudatou Mamadou, Wane, député de l’Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Réconciliation (AJD/MR).
L’investiture du président du Conseil de Supervision de l’Opposition, qui est le chef de file de cette mouvance, intervient prés d’une année après les élections législatives et municipales de novembre/décembre 2013.
Ces élections, rappelle-t-on, ont été boycottées par plusieurs partis de l’opposition historique.
Elles ont permis aux islamistes de faire passer 16 députés, soit le plus important contingent d’élus de l’opposition parlementaire.
Présente au parlement avec six (6) députés, l’Alliance Populaire Progressiste (APP), a refusé de siéger au sein du Conseil de Supervision de l’Opposition.
Suivant la loi 2008/019 du 08 mai 2008, « l’institution de l’opposition démocratique est dirigée par un Conseil de Supervision composé des représentants investis d’un mandat de député, sénateur ou de membre d’un conseil municipal des partis politiques de l’opposition représentés à l’assemblée nationale.
Le rôle de chacun des membres y est défini en fonction du nombre de députés de sa formation politique ».
Ce conseil «exprime l’opinion consensuelle de ses membres sur les questions nationales et internationales d’intérêt commun».
Source: Le Calame
Le conseil de Supervision de l’Opposition est présidé par El Hacen Ould Mohamed Brahim, maire de la commune d’Arafat (proche banlieue de Nouakchott), issu du Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (RNRD/Tawassoul/mouvance islamiste).
Il comprend deux (2) autres membres: Boydiel Ould Houmeid, député et leader du Parti Démocratique et Social (EL Wiam) et Saoudatou Mamadou, Wane, député de l’Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Réconciliation (AJD/MR).
L’investiture du président du Conseil de Supervision de l’Opposition, qui est le chef de file de cette mouvance, intervient prés d’une année après les élections législatives et municipales de novembre/décembre 2013.
Ces élections, rappelle-t-on, ont été boycottées par plusieurs partis de l’opposition historique.
Elles ont permis aux islamistes de faire passer 16 députés, soit le plus important contingent d’élus de l’opposition parlementaire.
Présente au parlement avec six (6) députés, l’Alliance Populaire Progressiste (APP), a refusé de siéger au sein du Conseil de Supervision de l’Opposition.
Suivant la loi 2008/019 du 08 mai 2008, « l’institution de l’opposition démocratique est dirigée par un Conseil de Supervision composé des représentants investis d’un mandat de député, sénateur ou de membre d’un conseil municipal des partis politiques de l’opposition représentés à l’assemblée nationale.
Le rôle de chacun des membres y est défini en fonction du nombre de députés de sa formation politique ».
Ce conseil «exprime l’opinion consensuelle de ses membres sur les questions nationales et internationales d’intérêt commun».
Source: Le Calame