Adrar Info - Le professeur Abdallah Mamadou Ba, ancien porte-parole de la présidence mauritanienne, a déclaré que les obstacles qui ont été placés devant les réfugiés qui ont décidé de revenir du Sénégal ont conduit à la dislocation de nombreuses familles, en raison de l’incapacité de certains de leurs membres de revenir en Mauritanie du fait qu’ils ne disposent pas de documents civils requis ou bien, à cause de leur exclusion par les organismes gouvernementaux en charge du processus.
Abdallah Mamadou Ba, a indiqué, lors d’un séminaire organisé par le parti Adil le vendredi 29 juin 2018 à Nouakchott, que ceux qui sont retournés en Mauritanie, ont été confrontés à des circonstances très difficiles.
Ceux, parmi eux, qui ont essayé de protester pour attirer l’attention sur cette désastreuse situation, ont été sévèrement réprimés dans les rues du « carrefour Madrid ».
Le professeur Ba a souligné que certaines veuves et survivants des massacres de l’ère noire, ont obtenu quelques rétributions personnelles, grâce à des négociations dans les coulisses avec le gouvernement, et que l’indemnisation fournie aux orphelins était maigre et était fournie sur la base d’ une assistance, et non d’une compensation.
Le conférencier Ba, a souligné que les victimes restent attachées à l’abrogation de la loi d’amnistie promulguée sous le règne de l’ancien président Maaouiya Ould Taya, la poursuite des auteurs des crimes , après leur identification par les organes compétents. Ensuite, discuter des sanctions à leur encontre ou bien, adopter le pardon.
Traduit par Adrar.Info
via cridem.org
Abdallah Mamadou Ba, a indiqué, lors d’un séminaire organisé par le parti Adil le vendredi 29 juin 2018 à Nouakchott, que ceux qui sont retournés en Mauritanie, ont été confrontés à des circonstances très difficiles.
Ceux, parmi eux, qui ont essayé de protester pour attirer l’attention sur cette désastreuse situation, ont été sévèrement réprimés dans les rues du « carrefour Madrid ».
Le professeur Ba a souligné que certaines veuves et survivants des massacres de l’ère noire, ont obtenu quelques rétributions personnelles, grâce à des négociations dans les coulisses avec le gouvernement, et que l’indemnisation fournie aux orphelins était maigre et était fournie sur la base d’ une assistance, et non d’une compensation.
Le conférencier Ba, a souligné que les victimes restent attachées à l’abrogation de la loi d’amnistie promulguée sous le règne de l’ancien président Maaouiya Ould Taya, la poursuite des auteurs des crimes , après leur identification par les organes compétents. Ensuite, discuter des sanctions à leur encontre ou bien, adopter le pardon.
Traduit par Adrar.Info
via cridem.org